mardi 15 juillet 2025

à la suite

Devant ce que tu ignores au-delà 

: la vie pour être sa présence 

Derrière à la suite les yeux ouverts 

 

Tu reprends le sel le sucre les vagues 

Au calme à la suite que donné-je

La paille sur le souffle frissons assurés

 

Nous sommes aux premiers jours 

Je tremble tu prends l’air à la suite

Nous sommes aux premières lueurs 

27 janvier 2024.

Retour, pour

le bonheur 
des heures tendres 
pour la vie calme espoir 

Maria Dolores Cano, 15 juillet 2025 à 09:25.

vendredi 11 juillet 2025

pour

Et le faire je suis pour tout en dire 

À ce point tu tournes sur toi-même  

La vie dans nos yeux au loin si tard

 

Les ombres dans le cœur les fractures 

Tu tiens on aime à dire je suis sur tout

Tu tiendrais je monte à la source irais-tu

 

Pour le bonheur des heures tendres 

Pour le pays il faut un calme espoir 

Pour la vie on tourne au lointain  

                                                         27 janvier 2024.


Retour, sur le pied

Je nous vois 
attraper 
les fleurs 

je te suis 
pour dire 
pour nous 

tu surmontes 
les pierres 
la trace 

cœurs épris

Maria Dolores Cano, 11 juillet 2025 à 11:18.


jeudi 10 juillet 2025

sur le pied

Je tourne veux-tu en finir je nous vois  

Entendre comprendre souvent attraper 

Les fleurs dans le froid le sel sur le pied  

 

En route je suis glacé surpris je te suis  

Tu me demandes pour y être pour dire 

Pour nous je tends tu te recommences   

 

Tu surmontes les images oh je te veux

Nous ferons le tour pierres ou branches 

Pour reprendre la trace de cœurs épris

27 janvier 2024. 


Retour, sans mémoire

Jambes et bras comptés
pour une saison en enfer
où la parole est de pierre

jambes et corps détachés
pour une fleur écartelée
où la vie est ignorée

je tu il aux yeux cernés
mains surpassant les rêves 
en une voie lactée comblée

Anonyme ?,10 juillet 2025 à 13:54.

mardi 8 juillet 2025

sans mémoire

Pour ce qui compte jambes ou bras 

saison d’ombre saisons des mondes 

parole discours longs pierres calées 

 

jambes dures tu tiens tu tires corps  

écartelé tu soignes le reste : fleurs 

qui tournent la vie à le comprendre 

 

je veux tu me dois je te cerne enfin 

la main sur le dos dépasse les rêves  

tout est sur la voie lactée un comble

27 janvier 2024.

vendredi 4 juillet 2025

tout nous cherche

Ombre si tu t’éteins tu tournes aussi 

Ou que ce soit d’ici pour la nuit noire 

jours perdus je tiens Nuit éteinte : fin

 

Tu t’embarrasses tu t’éteins tu te tiens 

Le devons-nous tenons nous souffrirons 

Le reste les heures plombées : l’instant 

 

Si loin de tout nous restent les ombres 

Pour comprendre le sel : leurs images 

Pour l’ambition : rires du tremblement 

                                           27 janvier 2024. 


lundi 30 juin 2025

Que dire

Nous irons sur le tard du jour voir

Les Etoiles au ciel : tu avances tout 

monte un peu Tout descend  

 

je tourne Les yeux au bout des doigts 

Je vois les regrets sur une épaule 

Oh comprendre ces histoires

 

Tout attendre les animaux les branches 

Devant la porte tout s’arrête je te tiens 

Tu me vois enfin comprendre

25 janvier 2024.

Retour, Diane

      1. aux branches
        les oiseaux songent 
        sombres parfums 

        promesses à la lune 
        les nymphes invitent
        la chaste Angélique

        tout est si rouge 
        aux doigts du silence 
        la paume du mystère

        Maria Dolores Cano, 29 juin 2025 à 10:59

samedi 28 juin 2025

Diane

Nous sommes aux arbres aux branches 

aux oiseaux rameau tu songes : les pins 

Que reste-t-il de sombre : les parfums 

 

Diane impitoyable je te vois : ce qu’il faut 

pour avoir l’air pour Penser sur le fond 

Au vallon : en retour chiens ou chasseurs  

 

Tout est deviné rouge téméraire tu tiens 

aux doigts Un rameau de pin noir : silence 

Faut-il te penser te faut-il sentir : mystère

25 janvier 2024.

jeudi 26 juin 2025

la serrure

Pourtant bien tard avec le quand même 

Nous sommes enflammés nous cherchons 

Des pommes aux pommiers suspendues 

 

Pourtant aux portes tu vois les coulures 

Tu continues ailleurs nous sommes grands  

Au plus haut la confiance la force à venir  

 

Je suis serré sur ton chemin tu tiens la clef 

Raison perdue et diffuse je veux le dois-tu 

Nous irons plus loin entendre le quand même         

                                                                                     

 25 janvier 2024. 

Retour, des doigts

mémoire 
des images
et des cœurs 

le doigt dit
et compte
les apparences

le miel coule
il est le jour
sur la branche

Maria Dolores Cano, 26 juin 2025 à 09:51.

lundi 23 juin 2025

des doigts

Sur ce qu’il te reste de mémoire 

désignons les images : je te dois 

un compte très précis des cœurs 

 

Le doigt pour apprendre à composer

Je siffle nous viendrons pour compter 

Accepte les apparences pour y aller  

 

Le miel coule la vie reprend et le dire

De branches en branches l’acceptes-tu

Nous sommes nous allons avec force 

25 janvier 2024.

vendredi 20 juin 2025

pour finir la course

Comme on pourrait dire 

Le sommeil est en voyage 

Vieille comptine aube subtile 

 

Du tendre pour éteindre 

Tourne il se peut tout est dit 

Tu comprends sommeil mouillé  

 

On en pleurerait revenons 

Rêves perdus on ne sait plus 

elle tient compterons-nous La vie 

                                                         25 janvier 2024. 

lundi 16 juin 2025

à tourmenter

Au bord tu comprends il reste 

Les jours enfants abandonnés 

Sans heure fixe sans prendre 

 

Tu cherches la source l’eau claire  

De rives en cailloux tu grattes 

les graviers : Tourne tout commence  

 

Sommes-nous vraiment branches 

effeuillées Pour atteindre pour dire

Les blessures le temps qui tourmentent  

22 janvier 2024.

Retour, quelques jours sans oublier

Dans le partage
je te retrouve
au seuil de l’été

la vie a ses secrets
ses erreurs sa beauté 
buvons-la sans compter

sans émettre d’avis 
sur une histoire passée
un apaisement retrouvé

Maria Dolores Cano, 15 juin 2025 à 12:00.

jeudi 12 juin 2025

quelques jours sans oublier

De reste à partager jamais 

Je ne saurai si tu tiens si tu dois 

Si tu veux je ne te prive pas 

 

Le retour dans la vie le secret 

Les erreurs : le charme aussi 

est à prendre sans compléter 

 

Sans détailler sans avoir sans 

deviner Je ne te priverai pas 

de cette consolation vivre enfin 

22 janvier 2024.

mardi 10 juin 2025

pour le choix

Enfin tu recommences il n’est 

pas bon Ni voix ni souffle décrire 

la clarté Remiser les annonces 

 

Nous sommes seuls nous tenons 

la marge De chaud à froid de souplesse 

à fermeté Il te reste à comprendre 

 

Les jours évanouis la trotteuse qui va 

à la force Sur un coffre d’acier Mener 

sur la cage chaque corde pour les sacs 

                                           22 janvier 2024. 


Retour, sans légende

Avancer
sans affects
à la source

boire 
l’eau claire
les yeux fermés

cœur ouvert
esprit libre
lampe allumée

samedi 7 juin 2025

sans légende

Alors sans tenir compte 

Ni contrainte de loin en force 

Des sentiments les sources 

 

l’eau est claire le jour aveuglé 

Le charme perdu il ne tient pas 

Tu ne vois plus nous sommes rendus 

 

En compte le cœur assoiffé 

La tête prise il ne veut plus 

Ni villes ni châteaux il tourne seul 

22 janvier 2024.

Retour, nous le signons

Des souvenirs
émouvants
nous restent

des heures
encore
au cœur 
de l'arbre

prends
les souvenirs
les habitudes

arbre
aux rameaux
des heures
nouvelles


Maria Dolores Cano, 06 juin 2025 à 10:15.

jeudi 5 juin 2025

nous le signons

D’habitudes en souvenirs tu es 

émouvant Je te revois tu me 

soutiens tu portes Il me reste 

 

des heures encore Je suis sur

ce tournant tu domines Il te 

reste un arbre à contempler 

 

Vois tiens tu ne cherches plus 

Allons aux souvenirs aux habitudes 

Un arbre si haut d’heures en retour 

22 janvier 2024.

mercredi 4 juin 2025

aligné

Ouest pour Est : allons 

Venant avec pour trouver 

Ce qui reste de merveilles 

 

Tu me révèles devant ce qui est dit 

Monde à comprendre je te relève 

Dans l’ombre entre les branches 

 

Les feuilles tournées terre au soleil 

Jour naissant nous entrons nous venons 

Nous tenons je te cerne tu m’éblouis

22 janvier 2024.

Retour, Les écritures

Écritures 
sur la terre 
je suis

nous sommes
pages écrites 
cœur de la rose 

à la ligne
page tournée
nos cœurs reposent

MarIa Dolores Cano, 03 juin 2025 à 09:34

dimanche 1 juin 2025

Les écritures

Les écritures : ce qui vient d’en haut 

en bas tourne et recommence Je suis 

sur cette dérive retrouves-tu ce qu’il 

 

faut Enjamberais-tu dans l’obscurité 

Les pages écrites au nom de tout  

Nous sommes tous et sommes-nous 

 

Nous allons écrire ce qui est reviens-tu 

Nous encore et tournés vers la conquête  

à mains d’hommes cœur esprit Ouverts  

21 janvier 2024.

Retour II, Viens enfant


 Merci, cher(e) anonyme.

Retour, Viens enfant

           cœur infini 
à l’ horizon 
tu te cherches 

paradis perdu
troncs rassemblés
sur les eaux 

désirs cachés 
tout ce manque 
au cœur

Maria Dolores Cano, 01 juin 2025 à 10:32.

samedi 31 mai 2025

Viens enfant

Le cœur épanoui allons à l’infini 

Comprends : tu es un horizon croisé

Tu te cherches parallèle cadre tendu

 

Ô paradis perdus à ramer à gémir 

Les troncs flottent tu rassembles sur

les eaux ce qui reste : La force connue 

 

désirs cernés tout ce qui est caché 

Tout ce qui manque cœur perdu voix 

attendue Tu restes tu deviens tu es 

20 janvier 2024.

 

vendredi 30 mai 2025

À défaut

Le ciel fermé les heures déplacées 

Je serre tu comprends : allons à l’Est 

Lointain cerné De deuil : Nous prenons 

 

nous tendons les courroies Dans les vergues 

il reste la mer à éblouir Au fond des yeux 

au sol nous retient le soleil À l’horizon tu cours 

 

réglée sur les lointains la cadence : mon cœur 

connait le pouvoir de tes regards un seul couvre 

ma faiblesse constante nos défauts suffisent

20 janvier 2024.

 


Retour, la route dans le froid

« parfum de ciel » 
l’image est belle *
nous sortons 

loin nous irons
devancer le bonheur 

les oiseaux dansent
des pensées reviennent 
nous saurons

Maria Dolores Cano, 28 mai 2025 à 09:29.


*plein  de confusion

lundi 26 mai 2025

la route dans le froid

Une branche : parfum de ciel 

Le goût du bonheur : il respire 

Il tire je renverse nous sortons 

 

Encore loin nous irons voir 

Pour devancer ce qui vient 

Tu tournes je constate : le ciel 

 

Les oiseaux tournent ciel avancé

Pensées anciennes allons devant 

Nous confondons et nous saurons 

20 janvier 2024.


vendredi 23 mai 2025

l’éprouvant

Sur des mots tu cours l’eau claire 

tu bois craignant la fraicheur Heures 

oubliées souffrant encore Gorge ployée

 

Sourire pour penser cherche trouves-tu

Les traces éparses de sable de cailloux 

de feuilles Sous les branches du bien tenu 

 

Au clair donné loin bien loin il te sert 

Tu deviens le fruit tu cherches la clarté 

On avance tu reviens décroise simplifie

20 janvier 2024.

 

lundi 19 mai 2025

les idées simples sous le soleil

On comprend je tourne tu reviens 

Il te reste à passer sous les branches

Retourne comprend tu veux le jour 

 

Tu perds la nuit aux heures claires 

au jour les matins obscurcis : Terre 

de cailloux rives gelées tu cours 

 

la chance Tu découpes la toile 

tu prends le vent Grillage épais 

fleurs de murailles Temps compté 

                                           20 janvier 2024. 


Retour, au bout du malheur

nous sommes au jour achevé
le chagrin nous parle et remue l’air
nos larmes dans le jour nouveau

nous restons seuls sans apaisement
et dénouons les fils de notre vie d’avant
différencions l’absence du grand silence

ne rien lâcher des jours à venir
la lumière demeure parmi les ténèbres 
et paisiblement voir l’étoile du levant

Maria Dolores Cano, 17 mai 2025 à 10:57.


TERRE DU PETIT JOUR


L'aube passe le seuil, le vent s'est tu,
Le feu s'est retiré dans la laure des ombres.

Terre des bouches froides, ô criant
Le plus vieux deuil par tes secrètes clues,
L'aube va fleurir sur tes yeux de sommeil,
Découvre-moi souillé ton visage d'orante.

Yves Bonnefoy / Hier régnant désert / 
Poèmes ... Poésie Gallimard... p.160

vendredi 16 mai 2025

au bout du malheur

Nous étions au jour d’avant 

le deuil En pleurs du gel les 

larmes : chanson ancienne 

 

Tourments constants le tragique 

revient Aurons-nous raison : nous

Le droit à l’un pour l’autre : le droit  

 

Ne pas céder j’applique je comprends 

Nous sommes à l’affirmation je choisis

Tu tiens ils sont inséparables nous irons 

20 janvier 2024.

jeudi 15 mai 2025

Retour, tu es sur cette route

Tenir sans dire
et prendre la route
avancer en quiétude

main dans la main
marcher vers l’indicible
demain tout s’éclairera

apprivoisons le manque
nos mains disent l’avenir
de nos jours défroissés

Maria Dolores Cano, 14 mai 2025 à 09:54.

lundi 12 mai 2025

tu es sur cette route

À dire sans faire je te tiens 

Tu commences nous sommes 

Soulagés et nous avançons 

 

Je te tiens tu montes de bas 

vers haut Des heures à soupirer 

Des retours pour comprendre 

 

Que manque-t-il que me donneras-tu 

Je ne sais où tu es tu reviens allons 

les heures tournent : Je te donne

  19 janvier 2024. 


dimanche 11 mai 2025

Retour, vers le haut

déposer 
les paroles 
sans mots

heures
suspendues 
vie sans éclat

oublions
et retrouvons
l’éternité

Maria Dolores Cano, 11 mai 2025 à 09:56.


j'ajoute : retrouvons l'éternité, vous qui n'avez plus de parents

mardi 6 mai 2025

vers le haut

Entreprendre monter déposer 

Tu remontes les paroles du bas 

vers le haut Escalier tordu 

 

Retour évité je ne sais je ne tiens 

Tu accroches les heures loin du repos 

Une vie à vider les heures sans éclats

 

L’oubli entretient je ne suis plus 

Sur ce courant je ne demande plus 

Attends-moi notre retour est éternel

19 janvier 2024.


 

Retour, tu me sers

Paroles du silence
en retour déposées 
elles ne sont que mystère

une trace éphémère
des graviers sous le pied
une pensée au détour du sentier

petites perles dans la main
sifflent au vent dans le froid
sans crainte le silence s’installe

Maria Dolores Cano, 06 mai 2025 à 08:43.


lundi 5 mai 2025

tu me sers

Des idées des paroles Phrases 

en retour déposées sur le silence 

Je te dois tu me sers je ne suis 

 

en attente plus je ferme Tracent 

les graviers du chemin les restes 

Les idées sur ce qui nous attend 

 

Quels qu’ils soient que tu tiennes 

Que nous soyons au vent au froid 

À l’incertitude un retour au silence

19 janvier 2024.


mardi 29 avril 2025

je te sonne

Tu rages je comprends il reste 

Des années tout est étrange 

Tout revient entendu au plus haut 

 

Entendu perdu je te sonne 

tu me comprends Les mots reprennent 

l’escalier tu l’as monté au retour 

 

La conclusion manque je recommence 

Tu réponds je suis encore ici j’attends 

Heureusement toujours tout est en vie

19 janvier 2024.

samedi 26 avril 2025

le vent te souffle

Peu importe ce qu’il reste du froid 

dans le vent La vie coule des doigts 

Je te dis engourdis sur ce qui nous 

 

ressemble Je te tiens tu me donnes 

des éclairs de feu Dans ton sourire 

tu manques tu ignores Je tourne 

 

tu reposes Cœur mémoire jardins 

perdus Années oubliées il reste 

un peu de froid La vie coule tu restes 

19 janvier 2024.

jeudi 24 avril 2025

sources de sables

Je me demande demandes-tu 

Ce qu’il reste des dunes : sables 

Poudres noires des montagnes 

 

Sources au froid et devant 

Tu trembles nous sommes unis 

Je traverse la vie tu me donnes 

 

Je penserais souffrances multiples 

Et fausses à rêver sans attendre 

Tu le dois poudre de montagne 

19 janvier 2024.


mercredi 23 avril 2025

Je suis rendu

À dire à faire pour causer 

Pour compliquer pour tenir 

Entre les doigts le câble 

 

Je tire la balance tu cernes il se passe 

Que nous arrive-t-il je prends la direction 

Tu tires la dérive le filin ce qu’il en reste 

 

De sacs en cordes de rires au trépas 

Tu osais le tréfond à comprendre 

Tu tournes avant l’épuisement

18 janvier 2024.

Retour, en capture

Vie pour le retour 
le rire des oliviers
et la fin des outrages

oiseaux du monde
et fleurs naissantes
grâce des branches

Maria Dolores Cano, 23 avril 2025 à 09:42.

samedi 19 avril 2025

en capture

Obscurément tu entres tu lances 

Cordons de vie : loin pour le retour 

Si près tu en conviens je finirai 

 

Sous les oliviers les peupliers argentés 

De rires en retenues de choses indicibles 

Des personnages aux pied changeront 

 

La finitude les outrages en capture

Les banches les oiseaux un monde 

Vivement la grâce avec cette éternité 

                                                         18 janvier 2024.


Retour, les yeux débordent

au bord 
du tremblement
suivre le chemin

en pointillé
jour après jour
marque du temps

les mots sont jetés 
sans bruit ni fureur
une consolation

la vie avance
trace ses sillons
le temps est notre

Maria Dolores Cano, 19 avril 2025 à 09:32.


jeudi 17 avril 2025

les yeux débordent

Du bord au tiers au tremblement 

Cela avance je suis ton chemin 

Tu marques l’espace entre les jours 

 

Les mots lancés le bruit la colère 

Nous sommes qui nous tourne 

Devant ce qui tient ce qui console

 

Je suis au travers vie avancée 

Chemin parcouru de loin en loin 

Le temps nous concerne un peu

                                                                                      18 janvier 2024.

Retour, le transport

Sable et cailloux
sous les doigts
la peau des arbres

heures amassées
temps retrouvé

vie simple et paisible
pain dans la bouche
au quotidien

Maria Dolores Cano, 17 avril 2025 à 10:13.


le transport

Les troncs le sable sous les doigts

Les cailloux le complément 

La route longue ce qui te contient 

 

Ce que tu reçois en dire en faire 

Des monceaux sous les arbres 

Le temps vers les heures oubliées 

 

Je te regarde simples nous vivons 

Tu revois tu décides ils sont ici 

Farines à peser langues tournées 

18 janvier 2024.

samedi 12 avril 2025

nous sommes là

Au bord au drame 

Chemins routes à comprendre 

Au calme pour trouver tu enjambes 

 

Tu tiens tu respires 

Nous sommes avant les yeux 

Devant nous sommes loin 

 

La terre tremble tu es agité 

Oh pour crier pour entendre 

Je ferme les yeux je t’oublierai 

18 janvier 2024.

Retour, en cherchant

Les objets prennent la parole 

ils consument le corps des mots
figures absentes du fil tendu

nous avançons sur la trame
pas à pas nous irons là-bas
entre pleins et déliés 

mains ouvertes paumes au ciel
la force nous entraine à la cime
les arbres ouvrent le jour

Maria Dolores Cano, 11 avril 2025 à 10:52