vendredi 31 mars 2023

Retour,"À la perfection."

Chemin clair
en dire l’essence
et la substance
l’angle accessible
aux confidences

souvenir d’une rive
d’un cœur comblé
au loin la brume
le noir dedans
et dans l’obscur
l’instant d’après

destin de paille
matin d’espoir
en sa demeure
le cœur pleure
larmes d’acier
sur le sentier

parole ridée
images brisées
tout se déploie
ouvre les bras
à la beauté
à la jeunesse
à l’absolu
au corps aimé

sourire des îles
chemin défait et retrouvé
vers d’autres rives
une autre vie

Maria Dolores Cano, 31 mars 2023 à 10:43.

James and Bruce.

 


James.


 

mercredi 29 mars 2023

Bruce.


 

À la perfection.

Et ne nous, non, ne nous, induire et indiquer, le chemin vers la repentance, avec beaucoup, avec infiniment et tu diras ici, de l’affection, ne nous, ne pas et plus encore, dire et faire, dans l’escalier la vie s’arrête, entendre et comprendre qui prend l’escalier, qui le montait et qui le descendait, t’a bousculé,

du repaire et des angles, de la roue et du tourment, supplice et confidences, je suis ici, et ici, tu te souviens, rappelle-toi, reviens d’entre les rives, un cœur plein et plus encore, de noir souci, de brumes, on reprend, à la décision, au trouble, au regret, je te tiens, je te tenais, tu étais pour être différent,

pour marcher, jambes flottantes et allurées, dans l’obscurité, taille bien prise et cœur d’acier, je te vois et tu respires, devant, encore plus devant et sans comprendre, il frotte et déploie, il assaille et complète, nous sommes au destin, nous taillons le chemin, la route avance, je renverse, il te resterait à proposer,

devant ce qui devient, devant ce qui demeure, et souffler, et penser, et comprendre, et revenir, de matins, en matins, et d’espoirs en incertitudes, tu reviens, tu reviens, et revenant je me plie à l’incompréhension, tu vis et je demeure, et pour redire où est la victoire, un cœur éploré, des larmes sur papier,

du souvenir et des excuses, j’en suis, je tiens et je résiste, il reste encore et encore un chemin de plumes et de plomb, tout ici résiste en parole et en images, avec, avec, infiniment de retard et d’incertitude, le malheur nous préserve, tout ici reste plus beau, plus jeune, sans ratures, sans erreurs, parfait,

à l’absolu du corps caressé, au souvenir parfait, au sourire sans gêne aucune, et ne nous, non, ne nous, induire et indiquer, le chemin vers la repentance, avec beaucoup, avec infiniment, tu regrettes la brume et le matin, perdu et oublié, tu cherches et tu trouves : le bruit des larmes sur le papier,

et cependant, et ne nous, non ne nous, comme toute chose, et révolte, et incompréhension, maintenant, maintenant, le chemin s’est arrêté à la perfection du bonheur.

30 octobre 2022.

 

Retour,"Dire, et que, et qui, et quoi."

Et vous
en-allé
vers la mer

tout commence
se recouvre

nul ne comprend
le pas y flotte

dans l’escalier
tout pèse
le grain
la pierre
le souvenir

au commencement
était la parole
le cœur ardant

Maria Dolores Cano, 28 mars 2023 à 09:18.

Retours 1&2,"Immédiatement."

 1.

Au bout de chaque branche, des feuilles et des fruits vestiges de la mémoire. Sous l’écorce, un grain, un éclat, une histoire oubliée, un cœur en hiver, un oiseau revenu au printemps des années. Bois limé, fétus, ramilles, poussière d’étoiles, fil d’or, le temps est à l’arrêt.

Souvenirs sous les arbres, cœur à cœur en sursis et baisers de rosée. Herbe rase et duvet sur la joue. Dans la toile d’araignée perlée de lumière un évènement enfoui, un reste de grésil, un refrain mal appris. Au souffle du printemps le réveil est certain.

La joie est dans la terre, l’espérance est aux nues. Sous la pierre du jardin, un murmure tout d’abord confus, puis des mots, des couleurs, un poème sourit. La vie, rien que la vie.

Maria Dolores Cano, 25 mars 2023 à 10:09.

2.

QUESTION SANS RÉPONSE

-Si quelqu’un répond à ta question, c’est qu’il n’a rien compris.
-Mais quelle est la question, je ne m’en souviens plus ?
-Mieux vaut la laisser en suspens, tu ne crois pas ?
-Non, je préfère que tu me la rappelles.
-J’en ai deux à toi de choisir.
-La deuxième.
-Pourquoi y-a-t’il quelqu’un plutôt que personne ?
-J’ai compris.

Jean Jacques Dorio 25 mars 2023 à12:11.

 

dimanche 26 mars 2023

Dire, et que, et qui, et quoi.

Et vous n’êtes que, et qui, et quoi, et encore, pour se comprendre, et soir, et matin, tant sur l’avant que sur le reste, tiers et quatre, et fureur, et mensonge, je tiens et tout devient, et serpente, tu appelles un reste de frayeurs, le tremblement encore, la vie recommencée, et comme si l’on disait :

en-allée à la mer, et la vie éternellement te supplante, sans condition, sans chercher plus, je te salue et tu poursuis noble océan, il te reste encore et encore de grands départs, je tombe et tu reprends au bord du toit, aux ardoises accomplies, il te reste un jour et de l’air, tout est visible, tout commence,

et tu reprends, et réponds, et composes, et abuses, et déposes, une erreur et des cailloux jetés aux carreaux, et ouvre, ouvre, la fenêtre, tu te reprends et tu déposes, et ton offrande et ce qui te reste, tu viens en retard, la courbure est en avance, je te tiens et tu trouverais le reste, et ce qui se découvre,

et ce que nul ne comprend, tu restes et tu agites des mystères et des imprécisions, il te reste à compter un à un les carreaux du couloir, les cailloux du chemin, les pièces chues dans la fontaine, tu te reprends et tu souris, y sommes-nous, y venons-nous, encore et encore, avec le pas qui flotte,

dans l’escalier, rampe oubliée, les pieds qui trainent, sur les pavés une boucle désespérée, des tourments et de la fatigue, tu cherches, tu cherches, et rien ne se trouve, ni rime, ni raison, une équation manquée et des comptes pour reprendre, et tu délaisses, et tu oublies, les choses comptées, pesant,

les grains triés, toujours et encore, les greniers comblés, offerts, vous n’êtes que, et qui, et quoi, et encore, et passer plus de temps, et comprendre plus encore, et se servir, et user le sol et son mystère de bois posés, de pierres éparses, de frottement, et que, et qui, et quoi, pour revenir, et tout reprendre,

au commencement, il te reste la parole, cœur ébloui, perdu et sans retour, en-allée à la mer, à la vie éternellement.

28 octobre 2022.

jeudi 23 mars 2023

Immédiatement.

Rentrer et sortir, situer, entendre, comprendre j’en suis au bout, je dépends de chaque branche, les feuilles oubliées, les fruits qui restent, tout au semblant, tout au pesant, tu es ici et ici tu témoignes, fleurs, fruits, feuilles et branches, tout compterait, tout tiendrait, immédiatement, dans la mémoire,

tu serres l’écorce, et de grain en grain, de branches en histoires, on avance, oiseau perdu, cœur oublié, vie sans rires, une moisson perdue, un bout de bois, fétus et brindilles, toute poussière tombe, et tu étends au sol, au sol bien sûr un drap, une toile marquée de fil d’or, marquée de réserve et de contenu,

tu te tiens, tu ploies sous les arbres, cœur ouvert, soupir à entendre, je te donne et tu prends, prendrais-tu bien ce reste de rosée, ce tourment qui retient et te pose au détour, tu penses sentier, un détour, un sentier, et l’herbe, et l’herbe, tout en sourire, il reste un cœur étendu, plume posée au détour,

sur la toile, bois silencieux, les animaux ne parlent, plus il reste, il reste, et tu proclames, à l’ordonnance des saisons, un cœur de raison pure, un tourbillon qui ploie aux épaules, je parle, je parle, et plein, et sans trembler je tourne, tu reviens et tu chantes, et froid, et neige, et vent, un reste de grésil,

ce qui souffle au-devant, tu te tournes vers la montagne, et froid, et vent, et neige, et retour, tout ensemble cherche et considère, la définition, les mots, les uns pour les autres, et la vie en avance, je te tiens et tu cherches, je suis ici et ici je te réclame, d’un fil cerclé de rouge, et feuilles en branches, des fleurs,

des fruits, tu observes, tu tiens, tu retiens et tu enlaces, il te faut, il te faut une parure, des réponses aux questions, des armes à retourner, et en l’air, en feu, en terre, en joie à polir, à tenir, l’espérance pour ordonner, je te tiens et tu commences, pour la clôture, cœur en cage, pari perdu, pierres jetées,

tourment défendu, je te recherche et tu me voies, oh ici tout reprendre et répondre, sans fin, aux questions que l’on ne posera jamais, voir venir un monde raisonnable.

27 octobre 2022.

lundi 20 mars 2023

Retour,"Par ambition."

« Du plus loin au plus court, en proche, en long, les branches, les pommes et ce qui porte parure… »
L’étoffe du monde Parure du beau cosmos Parlures en archipel La peau rose du monde Tête chiffonnée d'un bébé Sortant étonné de « l’Hydre Univers » Hugo Promesse d’un monde chamarré bariolé granulé
À l’infini tissage du déploiement des choses Entre les mots De siècles en siècles En renouveau

Jean Jacques Dorio, 19 mars 2023 à 10:55.

dimanche 19 mars 2023

Par ambition.

Du plus loin au plus court, en proche, en long, les branches, les pommes et ce qui porte parure, au sol, au profond, par ambition, je te donne, tu m’entends, pour faire, et dire, et reprendre, pour conquérir, je tiens, j’avance, je comprends, être bon, tenir en main le regard de chacun, pour étendre,

en liberté, ce qui reste de confiance, par ambition, étalons, étendons un reste, tu tournes et tu déploies, les ailes et la voix, oiseau, par croisement de ficelles, l’air penché, la tourmente pour prendre et tenir, les brins sous les griffes, la joie profonde, la vie avancée, le temps contenu, tu te retournes, tu contemples,

les pires deviennent meilleurs et enchantent, un regard, une impression, à tout comprendre, et rien de rien n’en retenir, à chaque pas il essaye, serons-nous au contact, viendrons-nous sur ces rives, pour étaler en fin les cœurs au soleil, les mots et les sourires, je te tiens, tu me vas, et plus encore, et encore,

tourne la langue, sept fois plus, réfléchis et comprends, je tiens, je cherche, je déploie, tout au ciel concentre les regards, tu te devines, tu soutiens, un jour au crépuscule un astre est descendu, comme, comme sur l’épaule, je te retiens, je te soutiens, image et espérance, la liberté future, le temps bousculé,

les heures égarées, et lourdement, les mains à la recherche, papiers collés et fureur sans racines, je te déploie, tu me manques cœur, allongé dans la poussière, tu te diriges, tu tiens sur l’horizon un peu plus loin, toujours, mémoire écartelée, ciel détouré et astre qui bascule, je te tiens, tu me recommences,

brouillon sans fin et dessin pour la foi, tu comprends, tu espères, il reste au jour la certitude, les marches, les tournants, les retenues au compte des habitudes, l’espoir sans fin, la vie commencée et complète, le vent, entre les branches, entre les images éclipsées, les feuilles, entre les doigts, sur le cœur,

sur la peau, je te cherche et tu me trouves, ennemi vaincu, par ambition, qui dit enfin et encore : nous vivrons sous le même soleil.

26 octobre 2022.

samedi 11 mars 2023

Petit rayon.

Que pourrais-je dire : pour comprendre, pour penser, que serait ce qu'il advient, que deviennent les choses et le reste, un goût de liberté, une aventure, tout avance et recommence, ensemble et devant, pour toujours, en avant, tu pourrais dire, je resserre et je reprends et je condamne et tu entends,

il se resserre, il devient tout, en avant, et au reste, et au rien, et au cap, et au cadre, je tiens, tu viens, pour la vie, devancés, reprends, je tiens l’histoire pour ce qu’il reste, tout en avant, pour comprendre, penser raison et aventures, tu manipules, je tiens les clés du monde, je te soutiens, je défends,

en trop de temps, du cœur pour l’ouvrage, en trop d’espace, de l’air aux fenêtres, tout viendra, le calme et le repos, la fraicheur, la glace et l’eau, il va venir, le feu pour bouillir tout, te reprendre et tenter, je te devine, tu avances sans compter, sans obtenir, il reste à faire, il reste à dire des histoires,

des éclats, pour rire et pour entendre, du renouveau, tu murmures à mon oreille, je reprends sans contenir, je te donne et tu obtiens le temps au présent, la certitude, tout est à venir, tout reprend, le tiers, le neuf, le beau et le vivant, tu oses, vraiment, ce que n’osant je tourne rond, choisis, tu oses,

tout ici chante et reprends, ce qui compte plus, ce qui nous retient, au bord, ailes tendues, tu cherches, tu cherches, voix ouverte, déployée et chaude, je te donne et tu tiens, prenant, tenant, tendu et osant ce qui reste, la charge à décrire, le poids et les essais, pour dire les nouvelles, qui pourrait dire pour comprendre,  

que pourrais-je dire : pour comprendre, pour penser, que serait ce qu'il advient, que deviennent les choses, il reste pour convaincre à sentir le cœur battre, et nu entre les feuilles, petit rayon, jour diminué, retours impossibles et voix éteintes, je te tourne et tu reprends, et dire, dire que je parlais à la nature,

et je contais le cœur du monde blotti entre les feuilles, tour venu, on perd ici la raison, je tremble.

25 octobre 2022.

 

Retour,"Murmurez, tenez, venez."

Connaissons-nous l’envers ? Ce lot de mots en vers et de travers. L’orgueil dans son deuil. Le baroque et le profane qui tordent le sacré, là où l’histoire condamne les enfants fusillés. Connaissons-nous l’étrange ? Les fleurs de la gloire ? Tous ces mots emmêlés qui claquent sous nos pieds et tirent la ficelle des images surannées. La vérité première, la mémoire oubliée au mur des condamnés. Connaissons-nous les mots : "burla"," broma" ? Hacer burla de la razón, et se rire du passé, des coques chavirées, sentimentalismo y viento negro.

¿ Connaissons-nous l’étoile du matin qui se penche et qui comprend ¿ 

Maria Dolores Cano, 10 mars 2023 à 19:30.

mardi 7 mars 2023

Murmurez, tenez, venez.

Connaissons-nous, entendons-nous, ce qui souffle et ce qui tranche, du haut au bas et à l’envers, d’une case juste à un caveau, tout est tendu de funeste et d’orgueil, et vêtu de deuil et d’espérance tu tournes et retournes une idée pour un mot, au revers, à l’avers, une étrangeté pour un lot de réponses bizarres,

du baroque au profane et du tordu à ce qui reste de sacré, tu te défends et tu te condamnes à des histoires et des épreuves, des drames, à oublier, enfants noyés, fusils perdus, et sans comprendre, et sans dire je tiens, je déforme ce qui te reste, de plus à moins, osez, osons, virilité, de bizarre à étrange,

et renoncer, calmement, la gloire, les splendeurs, le rire, les fleurs et les arbres, on avance, on tient tête, la vie emmêlée, les pieds claquent sur les carreaux, comme une idée qui frappe et se dénoue, et tout tirant, et tout tremblant, tu forces le passage des images vers la vérité, au calme, en approche,

sur ce qui tient par les idées étranges et bizarres, pourquoi cela tient-il ensemble, on accroche un cadre, le mur tient la mémoire, les compositions, les jaunes et les noirs et les radeaux perdus, enfant noyé au fusil perdu, je te tiens et tu trembles, les corps saignent un peu, la vie reprends, reprenons, repris,

tout se place, enfin libre, il ne saigne plus rien, et coupe amère, et bras tendu, tu troues le silence, la noirceur s’évapore, je tiens et je tremble encore, tout est un peu, un peu ensanglanté, tout tient dans une larme, une simple goutte, tout part au sel, la mer est proche, raison perdue, joie calme, souverains,

nous demeurons, de place en place, on accorde aux passants la parole, oui, parlez, murmurez, tenez, venez, il se déplace et tout demeure, ils restent souverains, et devant, de loin en proche, de la cour au jardin, tout au monde est une farce, burla, broma, depuis peu, depuis quand, tout est inscrit, tout tenu,

depuis peu, depuis quand, que reste-t-il de forces et de sentiments, un pied perdu, une main rendue, des étoiles au ciel, et ce qui penche et se comprend.

28 août 2022.

dimanche 5 mars 2023

Retour,"Et tu comprends."

Sur le banc de pierre les mots vont, viennent, interpellent et s’interpellent. Ils appellent avec arrogance. Le vent glisse entre les mots, les libèrent sur parole, et ils mordent les phrases, les discours de fortune. Ils inondent les pages de mémoire collective.

Écoutons la chanson bien douce qui ne pleure que pour nous plaire*, elle fait la pluie et le beau temps, et dit aux cœurs complices la vérité comme une étoile*. La lune blanche des insomnies luit entre les branches où le vent pleure*. Duel des cœurs entre les pleurs.

* Verlaine

Anonyme ?, 04 mars 2023 à 10:58.

vendredi 3 mars 2023

Et tu comprends.

Pour savoir si cela va, ou le contraire, pour entendre dire cela va, ou le contraire, les questions et les réponses accumulées, les descriptions sur le banc de pierre, vois-tu ceci, entends-tu cela, dire obligatoirement cela en place de çà, richesse ou manière, et si manière, forfanterie et arrogance, ou éloignement,

tout ainsi est mis à la distance, avec le vent du nord portant, de proche en proche, tu tournes et considères, ils sont là, et ici ils se libèrent, les mots un à un, les phrases, de précision en précision, les discours, la fortune, que le vent du nord, porte de feuille en feuille, mémoire éclaboussée, risque tenu, tiens-tu,  

vois-tu, ici écoutes-tu, et ici entendant, tu traces et tu composes, de réflexes en réflexes que le vent du nord porte, tu avances et tu comprends, ainsi, ainsi, l’été est tourné au printemps, tout recommence, après la pluie, avant la pluie, plus de fraicheur et de complicité, tu es étendu et tu observes, lune, étoiles,

et filantes et satellites, Diane Séléné, lune de beau métal, et tournant, et rentrant, tu tiens sur le sol, tu berces ainsi, ainsi, l’insomnie, le duel entre toi et ce qui te reste, corps dévasté et mains tremblantes, on tente, on espère, la fermeté, et on regrette l’enthousiasme, et ferme et droit et cherchant, tremblant,

dans le ciel les astres et leurs noms, les histoires, toujours quelqu’un pleure, et ici où là-bas, quelqu’un est mort, on tourne, on s’affaire, et fourrageant, on cherche, on cherche, beaucoup de fermeté, et encore plus, encore plus d’assurance, en un vol, en un abri, du plus bas au plus haut, des sentiments en chantier,

des répliques, je suis, en chantant, suivant tu donnes une indication, signe ou symbole, et concurrence d’un mot pour l’autre, où donc, où donc es-tu rendu, d’images en paysages, de bannières en symboles, d’idées en concepts, et de fleurs en fruits, tu te démènes et tu comprends, encore, encore,

et encore, les lois et les raisons, les lettres capitales, l’obscurité vaincue, les questions et les réponses accumulées, les descriptions sur le banc de pierre, et vois-tu ceci et entends-tu cela.

27 août 2022.