jeudi 31 juillet 2025

y

Attendus on trouve le chemin : espérez

sans voix oubliez sans histoire Enfermés 

très loin je les tiens Tu me trouves nous  

 

y sommes retenus encore Étendus ô sac  

ô corde trouvez-moi Cœur abandonné fil

du souvenir Un moment ton ardent désir

 

dit devant ce qui est nu Pour nos prières 

ô jours obstinés griffures Âmes sans vie

chocs précis rendus tout me frappe ainsi

                                                         30 janvier 2024. 


Retour, ou III

"Je te sers tu suis la vie à la trace"

Lignes ignorées
Traces uniques éphémères
Reprises de pensées 
qu’on avait oubliées
.Après huit jours de balades
Je retrouve mon pieu
Où je prose cette ballade
Mes manies d’écriture

Après un premier somme.
Je retrouve en somme
L’éphémère quotidien de ces nuits
Où nous rêvons éveillés
Cherchant obstinément
Les mots pour dire
Nos brèches d'incertitudes


DORIO JEAN JACQUES31 juillet 2025 à 10:34.

mercredi 30 juillet 2025

ou III

Je comprends nous sommes à la place 

Des certitudes au détour je tiens tu fermes 

Le matin vert ou blanc sur la table sur le fil 

 

Avec les heures éblouissantes je viens 

Tu viens revenons ensemble d’éblouissements 

en éblouissements Tu fermes les yeux tu ouvres 

 

aux miracles entre les cils le rêve la peau 

tracée brun ou rose Je te suis tu sers la vie 

à la trace Tu tiens la cause des jours heureux

29 janvier 2024.


mardi 29 juillet 2025

ou II

Visage pour visage et brillant 

attendu Tu cernes je reprends 

sommes-nous allongés cœurs offerts 

 

fortune incertaine Il remonte tu reprends 

des fils verts blancs sauterelles haricots 

Je te donne tu comprends tu tiens en toi 

 

tu cherches la chanson encore ou tout mon 

encore Tout mon cœur insecte vêtement 

vert blanc je me suis condamné au bonheur

                                           29 janvier 2024. 


vendredi 25 juillet 2025

ou I

Au choix tu regardes : ou donné-je

Il me reste une larme au coin du sourire 

Un plan les outils le travail les idées 

 

Installé le serment te domine Les 

maisons le matériel les mains dans les 

joues : Il te désigne celui qui a les poches 

 

crevées : bien fait aux générations Un compte 

rendu aux heures à venir Je te cède tu remontes 

fils de coton larmes de soie poche trouée                                                                                             29 janvier 2024. 


Retour, d’un beau mystère


Nous sommes
feuilles pliées
sous le soleil

oiseaux retrouvés
au regard clair
sous la pierre



Au loin le visage
des jours passés
mélancolie

la vie devant
le soleil répand
ses rayons d’or

sur le rivage
les vagues
incessantes



Regard bleu
du ciel étoilé
le sable dort

les mots
sont des étoiles
un souffle de lumière

miroir de l’ombre
mémoire des ans
tu veux le monde



Feuilles et cailloux
le temps compté
la peau frottée

jeux de l’enfance
les billes brillent
au fond du trou

tout recommence
tout est à voir
derrière le mur



Dire au soleil
la joie de l’âme
le poids des mots

le jour d’avant
tu fripais les mots
et tordais les phrases

tu t’accroches
aux branches du passé
et disperses le temps

jours sombres
une confusion
souvenirs vagues

tu fais et tu défais
le vent tire le fil
sur l’autre rive

tourbillon de feuilles
et d’écorce arrachée
l’appel de l’air


Maria Dolores Cano, 25 juillet 2025 à 09:54.

jeudi 24 juillet 2025

d’un beau mystère

1

Nous sommes ma pierre 

mon talent On cherche 

le grand élan les feuilles pliées 

 

les voiles volent sous le soleil 

tu tournes vent tu comprends 

les oiseaux on cherche on trouve 

 

le regard sur la peau l’air 

le visage qui fut qui n’est plus 

ton talent sorti de la pierre

2

Au loin de ce qui cherche 

pour Après dire la mélancolie 

la ferveur Belles choses le jour 

 

au soleil La vie en soi tu plonges 

tu écoutes Nous sommes au regard 

des rayons sur la peau Le trouble 

 

le retour sac ou ressac incessant 

la vie sur le rivage Vois : tu entends 

nous sommes en avant : la vie croisée 

3

Comme on disait animal je te tue 

Tu feules tu te tourmentes devant : 

beaux regards sous le ciel étoilé

 

tourne précieux Force considérable

La lumière accentue chaque mot 

souffle ceinture muscles : tension 

 

Tu imagines je demeure nous sommes 

en miroir Nous changerions de côté 

Tu resterais pourtant ombres en mémoire

4

Comme nous disions je tiens 

Tu commences il faut compter 

les feuilles frotter les cailloux 

 

éloigner le malheur tirer les billes 

Le sac est vide tu cherches maintenant

je couvre je comprends une affaire 

 

En principe dire les commencements 

pour entendre ce qui est à vouloir

Comprendre pour arracher le lierre des murs

5

Comme si nous disions au soleil 

chaque visage compte Tu affirmes 

lisse la lettre tu tiens les mots 

 

Au transport tu présentes le jour 

tu envisages la réponse Tu tiens 

: seuil à fouler les rires entendus 

 

Avant veux-tu tiens-tu les branches 

les fruits les feuilles au vent sans rien 

disperser Tu montes nous entendons

envoi

Pour tenir l’obscur séjour 

En lieu ce qui est confondu 

Au plus profond le souvenir 

 

Surprenantes intentions : défaire  

avouer tout Je te suis tu entends 

Approche le vent te manquerait   

 

Les tourbillons les ombres soutenues 

Les feuilles oubliées branches écorcées 

comme aussi : L’idée d’un beau mystère  

 

28 janvier 2024.

vendredi 18 juillet 2025

la vue à l’infini

Sans attraper les eaux passantes : Les mots 

arrachés les feuilles au détour en grâce Repos 

de rires étouffés de frissons sous la langue  

 

Dans le cœur surtout au lointain dans la peau 

Tu demandes des confidences : dites-moi 

les secrets Donnez-moi votre regard de feu  

 

De parfums d’écorces de charme écrasés 

Tu demandes ce qu’il nous reste de morsures 

Entre les deux sans rien en faire je demande  

27 janvier 2024.

mardi 15 juillet 2025

à la suite

Devant ce que tu ignores au-delà 

: la vie pour être sa présence 

Derrière à la suite les yeux ouverts 

 

Tu reprends le sel le sucre les vagues 

Au calme à la suite que donné-je

La paille sur le souffle frissons assurés

 

Nous sommes aux premiers jours 

Je tremble tu prends l’air à la suite

Nous sommes aux premières lueurs 

27 janvier 2024.

Retour, pour

le bonheur 
des heures tendres 
pour la vie calme espoir 

Maria Dolores Cano, 15 juillet 2025 à 09:25.

vendredi 11 juillet 2025

pour

Et le faire je suis pour tout en dire 

À ce point tu tournes sur toi-même  

La vie dans nos yeux au loin si tard

 

Les ombres dans le cœur les fractures 

Tu tiens on aime à dire je suis sur tout

Tu tiendrais je monte à la source irais-tu

 

Pour le bonheur des heures tendres 

Pour le pays il faut un calme espoir 

Pour la vie on tourne au lointain  

                                                         27 janvier 2024.


Retour, sur le pied

Je nous vois 
attraper 
les fleurs 

je te suis 
pour dire 
pour nous 

tu surmontes 
les pierres 
la trace 

cœurs épris

Maria Dolores Cano, 11 juillet 2025 à 11:18.


jeudi 10 juillet 2025

sur le pied

Je tourne veux-tu en finir je nous vois  

Entendre comprendre souvent attraper 

Les fleurs dans le froid le sel sur le pied  

 

En route je suis glacé surpris je te suis  

Tu me demandes pour y être pour dire 

Pour nous je tends tu te recommences   

 

Tu surmontes les images oh je te veux

Nous ferons le tour pierres ou branches 

Pour reprendre la trace de cœurs épris

27 janvier 2024. 


Retour, sans mémoire

Jambes et bras comptés
pour une saison en enfer
où la parole est de pierre

jambes et corps détachés
pour une fleur écartelée
où la vie est ignorée

je tu il aux yeux cernés
mains surpassant les rêves 
en une voie lactée comblée

Anonyme ?,10 juillet 2025 à 13:54.

mardi 8 juillet 2025

sans mémoire

Pour ce qui compte jambes ou bras 

saison d’ombre saisons des mondes 

parole discours longs pierres calées 

 

jambes dures tu tiens tu tires corps  

écartelé tu soignes le reste : fleurs 

qui tournent la vie à le comprendre 

 

je veux tu me dois je te cerne enfin 

la main sur le dos dépasse les rêves  

tout est sur la voie lactée un comble

27 janvier 2024.

vendredi 4 juillet 2025

tout nous cherche

Ombre si tu t’éteins tu tournes aussi 

Ou que ce soit d’ici pour la nuit noire 

jours perdus je tiens Nuit éteinte : fin

 

Tu t’embarrasses tu t’éteins tu te tiens 

Le devons-nous tenons nous souffrirons 

Le reste les heures plombées : l’instant 

 

Si loin de tout nous restent les ombres 

Pour comprendre le sel : leurs images 

Pour l’ambition : rires du tremblement 

                                           27 janvier 2024.