Au ciel
les sillons de la nuit
le temps agrafe les heures
le vent tourne
dans l’escalier
le désordre des jours
en fuite vers demain
sur des chemins d’éternité
de l’autre côté du miroir
le rêve nous prend par la main
nous mène au-delà du temps
là où l’on ne meurt pas
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