vendredi 17 octobre 2025

suave


Du végétal on reste au commencement pommes roses

Cajou jujube pour dire : cara ed amabile érable sycomore 

Ou bananier ou platano trop lointains ou figuier peut-être 

 

Babylone dans les jardins suspendus plus suave Feuilles 

qui enveloppent ne te trompe pas suave le cou la décision 

Ombre sert le poignet au pays des joies bleu je tiens tu viens 

 

Oh tu roules tu déroules nous enveloppons le compte à tenir 

Main pleine doigts serrés pour le début dans l’ombre douce 

pourquoi figue ou simplement parce que simple feuille de vigne 


19 février 2024.

Retour, en contre

miroir aux oiseaux 
la rivière boit le ciel
tout est bleu-vert
le vent écrit sur l’onde

feuilles aux branches 
ce qui est écrit éblouit
cœur noyé dans l’argile 
la terre née d’un chaos

jeudi 16 octobre 2025

en contre


D’avance réfléchis miroir au fond de la rivière : oiseaux 

du ciel tout est bleu Vert en contre ce qui se donne ce qui 

est confié Je sais peu lire moins écrire nous sommes sans 

 

: attentes Attendues nous sommes en retour miroir au fond 

de la rivière Oiseaux ciel bleu feuillages nous tournons nous 

comprenons Je ne sais ni écrire ni lire il reste à se compter 

 

: les feuilles aux branches L’eau les reflets ce qui court

ce qui coule Cœur ébloui tu te noierais tain dans l’eau ô l’air 

le feu la terre Restons tranquilles miroir au fond au bord de l’eau


18 février 2024.

Retour, petite chose un soir

images d’un soir choisi 
rêve ou souvenir - l’espoir ne tient qu’à un fil
sur le dos de l’oiseau en feu

le peu qui reste tient entre nos mains
un cœur en herbe dans l’hiver rescapé
petite heure du soir ensommeillée 

pleins et déliés d’une vie antérieure
l’âge nous a pris quelques petites choses en chemin
nous sommes là fidèles - où le regard nous porte

petite chose un soir


Au plus pour le plus les images sans rien rencontrer 

Le rêve les souvenirs les habitudes l’espoir pour tenir 

Sur le dos la force l’habitude tu les joins à l’embarras 

 

Tu cherches ce qui reste tu ouvres les mains les bras 

le cœur il reste des échanges ils se tiennent Tu cours 

les dormeurs éveillés ceux qui tracent en eux-mêmes 

 

Le jour la vie les pleins les déliés d’un temps qui passe 

Le temps a passé la vie nous tient petite chose un soir 

La cloche ou la chanson tu tiens enfin tes récompenses

15 février 2024.




Retour, les objets obscurcis


Repentirs et remords
La mort n'y mord 
Le vent sur les genoux 
Un pied près de mon cœur 
Quoi qu'a dit
A dit rin
Quoi qu'a fait 
A fait rin
À quoi qu'a pense
À pense à rin
A'xiste pas

Avec Clément Marot Jean Arthur Rimbaud Jean Tardieu et JJ Dorio

mercredi 15 octobre 2025

les objets obscurcis


J’irais sur ce chemin tu files je tiendrais le câble 

Je comprends une peine les angoisses pour un remord 

bouche pleine Le vent sur les genoux la face dans le temps

 

Tu fermes tu comprends les objets obscurcis tu tires 

Je t’ordonne tu comprends il ne reste rien Ou plus 

ou moins ou encore incapable de dire ou faire Je reprends 

 

tout est à dépenser les heures les jours Les saisons 

un sarment pour un autre des yeux abandonnés Le pire 

le meilleur le lait le miel il te revient à dire : Ici tout cesse 

15 février 2024.

Retours, le cœur sous les outils (les amis de la nuit)


  1. Cœur obscur
    aux heures lues
    de la nuit – mélancolie

    sous l’œil des tuiles 
    la maison du destin 
    une aventure en chemin

    nuit océanique
    la lune est un frisson 
    une consolation

  2. Le retour d'un temps où l'on écrivait sur les murs de Mai nos obscures clartés 
    Cours camarade de l'abrivado les vaches à corne sont derrière toi
    Une saison en enfer d'un paradis où l'on se noyait dans les prises de paroles 
    Où l'on reprenait chaque jour la Bastille 
    Mai mai Paris mai
    Mes paris à qui perd gagne 
    Mais mais ici Martigues 
    Je tue un âne à coup de figues 
    Je résiste je m'encagne

mardi 14 octobre 2025

le cœur sous les outils


Obscurité de circonstance ici les journées proches 

Pour entendre les heures heureuses des comptes lus

Algèbre ou caresse mélancolique je te tiens tu me dis 

 

Je voudrais deviner le reste des étages les tuiles 

La maison pour destin : les marches ou la complicité 

Nous sommes au-devant nous courons l’aventure 

 

Le ciel sur les épaules un océan au fond des yeux 

: herbes frissons un clair de lune de circonstance

la vie évidente les marches obscures contournées

15 février 2024.

Retours, ensemble (gloire aux couche-tard, lève-tôt, insomniaques)

  1. Maria Dolores Cano14 octobre 2025 à 00:09.
Prendre les mots 
en faire une idée 
tirer les racines

rivières céladon 
du pays d’orient
raku japonais

berceau de la vie
ruines de la nuit 
sa peau chamottée


Le drap on l'appelle le linceul en occitan
Ça vient du lin
Charles Dulin
Inspira Jean Vilar le sétois 
C'est patois
Disait-on à ceux qui parlaient 
La langue du Midi
Aujourd'hui en lambeaux 
O Moun pais (pa/is)

lundi 13 octobre 2025

ensemble


Je donne tu prends nous tenons les mots pour 

les dire une idée pour une autre un regard pour 

une absence Les yeux oubliés les rides du nez au menton 

 

Rivières profondes nous allons nous venons nous tirons 

ensemble De droite de gauche d’Orient d’Occident tu te précipites 

De Midi à Septentrion une chose pour une autre un regard pour 

 

Un retour une boucle : s’achève une vie du berceau au drap 

tu n’oses pas tu ne tiens pas il reste des lambeaux il vient 

le goût du monde : La peau le sel le sucre les larmes à deviner  

15 février 2024.

dimanche 12 octobre 2025

Retours, la victoire

Les signes aident le ciel 
à nous montrer la route 
La victoire en trébuchant 
sur la guerre des gosses
Sur ce chemin de paille
de Compay segundo 
Du miel aux cendres


Nous irons par les chemins clairs 
cueillir les rêves au cœur de l’hiver
petits baisers verts au creux de la page

Paille et sucre d’orge pour les enfants 
des îles et des plages de sable suspendu
tout chante plus haut que ne peut ouïr le ciel

la vie d’ici-bas a pris fin dans la nuit
ses mots sont surannés le vent le sait et pleure
entre sable et rêverie Orion cherche le soleil

vendredi 10 octobre 2025

la victoire


Nous irons par force pour entendre le reste : Je chante 

la victoire j’affirme la raison le trésor oublié le rêve 

pour la route On signe chaque page on ébranle chaque ballot 

 

Paille pour les enfants cerclée de métal le sucre sur les lèvres 

Je te vois tu me tiens nous sommes déposés je tourne les éponges 

Vider sécher le reste dans le bac bols vaisselles bras allongés 

 

Vie souterraine tu vas tu viens d’un occident tu penses lointain 

Tu dis en évidence les mots contournés les problèmes de surface 

Tu arases tu abrèges ce qu’il te faut d’ombres ou de certitudes 

15 février 2024.

Retour, ton malaise

Dans le désordre des marges absentes
des sanglots s’échappent d’entre les lignes
dénouant un à un les mots des phrases écrites

tu contournes les pages – épargnes le texte
le silence des mots ponctue toutes les lignes
pour peu que dans les actes le mot soit de démence

les heures pointent la lune au-dessus de nos mains
elles effleurent en douceur la joue rose de l’enfant
dans les forêts obscures des contes d’autrefois

Dans le secret des marges
La petite sirène 
Et le grand méchant loup
Y es tu 
Belzébuth 
Le cercle de craie
La marelle des petites raies
Et le mot d'ordre des amoureux :
Pas d'actes des mots

JEAN JACQUES DORIO,12 octobre 2025 à 03:16.

jeudi 9 octobre 2025

ton malaise

Je te vois je tiens une conclusion à ce désordre 

Ce qu’il nous faut de sanglots pour convaincre : 

Tu trembles tu souris en larmes en cercles avancés 

 

tu contournes le vent On nous tient : commence

obscure forte silencieuse la conclusion Tu ponctues

la déraison tu tournes je te vois tu me tiens le vois-tu

 

Entendons-nous bien ce qu’il y a à vouloir : Les heures 

déplacées les enfants oubliés un reste de raison le murmure 

La forêt le bois de hêtre matériau fardeau où l’écorce brûle 

                                                                  

15 février 2024.

Retour, l’air en cage

Le fond et la forme 
le plaisir de l’écrit 
dans la cage le chant 

j’écoute l’instant 
ce chant d’éternité
les fruits du roncier 

sous les pierres 
la beauté nous appelle 
bouche grande ouverte 

Maria Dolores Cano, 09 octobre 2025 à 11:26.

mercredi 8 octobre 2025

l’air en cage


De fond en forme d’inventions en compliments je te sais 

Tu me trouves nous sommes au plaisir nous tenons l’air 

En cages les saisons le chant perdu les ombres tout tient 

 

Je t’écoute tu me viens nous sommes devant nous tenons 

la journée Le temps est formidable le beau le grand l’éternel 

de l’été Tu tiendras les fruits sur les branches mures au roncier 

 

Fourmis aux pierres plates le monde est grand la vie commence 

Dis que c’est beau nous sommes au complet je te tiens tu évites 

Les bras écartés la bouche lèvres ouvertes grandes nous prenons 

13 février 2024.

Retours, au ciel


  1. Je faisais état de mon trouble devant ton texte Michel et je commençais à illustrer mon propos mais mon commentaire a été mangé par je ne sais quelle fausse manip Macach bono

  2. Jusqu’à ce que l’on découvre ces lignes énigmatiques
    ces pas sur le sentier - traces d’une vie mystique
    les oiseaux sont de neige et de pluie confondues

    leurs plumes sont de silence et de paroles rentrées
    sur les chemins du ciel où le soir replie ses ailes
    découvrant sa couche pour un très long sommeil

    de peines en tourments et débris de feuilles mortes
    les doigts crochus des rêves déchirent la toile offerte
    pour que naisse enfin l’oiseau porteur d’étoile

mardi 7 octobre 2025

au ciel


 Surtout à penser encore en soutenir la mémoire diriger 

: les pas Du chemin au chemin les éclats les certitudes 

Tu reprends tu écoutes tu cherches au ciel les oiseaux  

 

Longues plumes sur le silence on tourne des chemins  

en chemins la gloire au crépuscule Je tiens tu grandis 

nous faiblirions Ensemble pour le sommeil au sommeil  

 

d’efforts en contractures Des lambeaux de métal la main

les doigts crispés : la chair Je comprends nous sommes 

en avance et nous inventons au ciel le vol des oiseaux 

13 février 2024.

Retours, recommence

  1. Le chemin parcouru 
    Sur le parchemin
    Patchwork et palimpseste
    Je réécris 
    Je réinterprète 
    La rumeur du monde
    Le sel d'une écriture 
    Craquant sous nos dents 

  2. Fleur de l’âge et soleil bleu
    à l’heure où les ombres s’allongent
    du sel sur le chemin parcouru 

    reconnaitre les traces 
    écrire leur nom sur les pierres dressées
    et comprendre le monde à travers les miroirs 

    il nous reste les brisures
    éclats de verre comme stèles érigées 
    tenture lacérée qu’il faudra rapiécer 

lundi 6 octobre 2025

recommence


Comparer le reste de nos âges la fleur le soleil 

toute la vie la joie bleue immense les ombres 

les détours De sel la peau percée le chemin parcouru 

 

comprendre reconnaitre sentir pour se débarrasser 

Je te tiens tu observes nous sommes au détour Le rythme 

est soutenu avance marche tourne comprend 

 

De l’équation il te reste des morceaux la part est importante 

Nous sommes au sommet la rumeur recommence tourne 

Prend acte compte comprend incline recommence 

13 février 2024.

Retour, Encore

Fleurs coupées et découpées 
dans la courbure des étoiles
le cœur se pose dans la main

des ombres raturent le ciel
les nuages tirent de grands traits
à l’heure où nous sourit la lune

l’émotion est première
les rêves infiltrent les paupières
encore une nuit bleue étoilée


dimanche 5 octobre 2025

Encore


Fleurs découpées promesses inutiles bord atteint 

Courbure tu précipites le jour tu retiens les étoiles 

Cœur oublié tu cherches la signature voyage en retour 

 

Les ombres passent de ciel en ciel sur le reste 

des nuages on voit luire Tu entends pour comprendre les yeux 

effarouchés les heures imprécises Le grand le beau récit

 

il supporte enfin Tu éclabousses ce qui reste d’émotions  

nous sommes au sommet Tu tournes : je t’indique 

le calme à connaitre la certitude tu avancerais Encore 

13 février 2024

Retour, se connaitre

Rivière d’or 
Œil d’émeraude
charbon ardent 
crinière au vent

Heures en allées
herbes vert tendre
branches au panier
cœurs purs et simples

Étoile du levant
rêve de paix 
il faut du courage 
de l’assiduité

Parfum d’histoire 
sans condamner
les yeux ouverts 
Cœur pardonné

se connaitre

Je te connaitrais rivière or charbon crinière 

précipice Au-devant tu comparais je te tiens 

tu récites les heures commencées Les herbes 

 

sous les branches les simples si simplement 

au panier Une étoile on rêve avec le courage 

d’avancer de comprendre de dire je suis inconnu 

 

Je ne renonce pas nous sommes dans l’absolu 

parfum du jour Je te donne ne condamne rien écoute 

les yeux les bras Cœur avoué toujours à chaque fois

                                                          13 février 2024.

Retours, noir majeur

  1. "J'ai peur du sommeil comme on a peur d'un grand trou"*
    et du noir de la nuit qui n’entend pas l’appel
    dans le silence de la mer et ses gouffres sans parole

    à l’oreille le mystère d’une lampe allumée
    la rumeur incertaine d’une terre lointaine
    dans cette obscurité sommes-nous des naufragés ?

    le poète l’a écrit : "Je ne vois qu'infini par toutes les fenêtres"*
    et quand tombe la lumière dans une obscurité tranquille
    les heures s’écoulent paisibles se riant du grand trou

    * Ch. Baudelaire (Le gouffre)

  2. Intranquille et tranquille 
    Michel C. Maria D.
    La connaissance par les gouffres 
    Ou les jardins de longévité 
    Marche pesante de Pessoa 
    Ailée légère d'une éthique de la présence 
    Exister et faire exister 
    Dans le vide parfait 
    Et la joie de persévérer

samedi 4 octobre 2025

noir majeur

De quelles profondeurs gouffres éteints volcans 

sans nom Aux plus grands aux plus lointains heureux

ou malheureux Finis ou infinis sans eau sans termes

 

voiles étendues Chiffres tracés au-devant 

au plus clair la pointe sans penser Nous demandons 

: sommes-nous bien à nos places cœurs résolus 

 

La marche est pesante pourtant sans penser 

sans peser nous sommes sur les traces Comme se pensent 

les heures obscurément dans le silence rivières profondes 

                                                              13 février 2024.

Retour, la figure

Je connaissais de Ponge une figure de figues
Mais non de Chalandon 
Les cœurs carreaux ébréchés
Moi c'est plutôt ce miel aux cendres
des Amérindiens 
Qu'ils m'offrirent dans des calebasses servant aussi à faire grelotter les maracas 

La figure les cœurs ébréchés le miel des cendres la nostalgie de l'instant

vendredi 3 octobre 2025

la figure

Suis-je comblé ainsi tu sers la vie ombre  

Tout est léger tu aspires vois : nous tenons  

En vrac en cendres tournent la fumée les heures 

 

les nuances Oiseaux perdus cœurs carreaux 

ébréchés il te reste à compter les verres polis 

Rouge vert le bleu brûlant tout tient en évidence 

 

La peau pour offrir aux porteurs le poids du monde 

Tu chantes corps perdu sur l’épaule un chant plaintif

Objets trouvés source abondante feuilles abandonnées 

                                                     12 février 2024.  


Retours, che bella cosa

Des nymphes de ruisseau 
Des Vénus de barrière 
Les amours d'antan 
D'un certain Brassens
Le ru moins académique 
Où nagent les naïades 
Jusqu'à la page
De bella tchao

"Una mattina mi sono alzato"
l’âme ensommeillée – le cœur ensoleillé 
cosa bella ho trovato nella notte della malinconia
nymphes et naïades – sourires aux branches
leurs rires s’épanchent sotto l'ombra di un bel fior 
la joie roule dans la bouche – l’Espoir
étoile des bergers éclairant la nuit
"On l’appelle aussi Vénus »"

et sur la plus haute branche 
un rossignol chantait

jeudi 2 octobre 2025

che bella cosa

Reconnues les heures au cœur avancées :

la certitude Il fait beau une journée de soleil 

quelle belle chose À la nuit je plonge : la mélancolie 

 

suivra le ruisseau Entends-tu les nymphes tu sers 

aussi les naïades Fuyez faunes sauvages de loin de près 

les ombres Au-devant les rires sous les branches 

 

Je te tiens destin ensoleillé écoute la pente : joie 

Vous suivez lèvres du jour au jour les troncs abattus 

Oh je tourne : animaux constatez les heures heureuses 

                                                         12 février 2024.  


Retours, Souvenirs


  1. Ici je me tiens 
    Pauvre sens 
    Mais riche mémoire 
    Mon beau navire 
    Ici je chavire 
    Sous le pont Mirabeau 
    Les martinets font des ricochets

  2. "Souvenir, souvenir, que me veux-tu ? L’automne"
    Fragments d’un monde habillé de soleil sous la brume 
    parure d’or et de mousse annonçant les fêtes rousses

    lumières de velours satiné - ombres longues et légères 
    danse des feuilles dans le jardin où la vieillesse se souvient 
    des jours anciens et des nuits flamboyantes – un chuchotis

mercredi 1 octobre 2025

Souvenirs

De quelle manière tiens-je tu viens nous sommes 

Depuis à savoir ce qui est venu sans cesse rendre 

compte Tenir pour vrai tu ne conviens pas il pense 

 

à raconter Comment à honte : je suis accommodé

dire pour faire Je te donne l’espérance ô lendemain

que reviendrait La corde le temps passé la certitude 

 

Les frayeurs le noir devant ce qui tourne le lit défait 

Les ombres sensibles ce qui est advenu tu y penses 

Le temps qu'arbres défeuille pauvre sens tu reviens 

                                          12 février 2024.

Retours, Con te partiro

  1. De la musique avant toute chose
    L'art poétique de Verlaine 
    Les anapestes et anacrouses
    De Chalandon 
    Peste soi des coups de règle sur les doigts 
    C'est Mozart qu'on assassine
    Anacrouse
    anapeste soit
    tout se tient 
    condamné 

    nous sommes 
    et tout bascule 
    sur le devant 
    tic toc et tac 

    risque de coups 
    du métal noir 
    quando sono solo
    con te volo via