Surtout à penser encore en soutenir la mémoire diriger
: les pas Du chemin au chemin les éclats les certitudes
Tu reprends tu écoutes tu cherches au ciel les oiseaux
Longues plumes sur le silence on tourne des chemins
en chemins la gloire au crépuscule Je tiens tu grandis
nous faiblirions Ensemble pour le sommeil au sommeil
d’efforts en contractures Des lambeaux de métal la main
les doigts crispés : la chair Je comprends nous sommes
en avance et nous inventons au ciel le vol des oiseaux
13 février 2024.
Je faisais état de mon trouble devant ton texte Michel et je commençais à illustrer mon propos mais mon commentaire a été mangé par je ne sais quelle fausse manip Macach bono
RépondreSupprimerC'est vrai,
Supprimerdans un solfège contraignant,
la liberté est parfois, même souvent
un peu foutraque, même beaucoup,
donc macache bono, même chiche capon ...
Jusqu’à ce que l’on découvre ces lignes énigmatiques
RépondreSupprimerces pas sur le sentier - traces d’une vie mystique
les oiseaux sont de neige et de pluie confondues
leurs plumes sont de silence et de paroles rentrées
sur les chemins du ciel où le soir replie ses ailes
découvrant sa couche pour un très long sommeil
de peines en tourments et débris de feuilles mortes
les doigts crochus des rêves déchirent la toile offerte
pour que naissent enfin l’oiseau porteur d’étoile