mardi 7 octobre 2025

au ciel


 Surtout à penser encore en soutenir la mémoire diriger 

: les pas Du chemin au chemin les éclats les certitudes 

Tu reprends tu écoutes tu cherches au ciel les oiseaux  

 

Longues plumes sur le silence on tourne des chemins  

en chemins la gloire au crépuscule Je tiens tu grandis 

nous faiblirions Ensemble pour le sommeil au sommeil  

 

d’efforts en contractures Des lambeaux de métal la main

les doigts crispés : la chair Je comprends nous sommes 

en avance et nous inventons au ciel le vol des oiseaux 

13 février 2024.

3 commentaires:

  1. Je faisais état de mon trouble devant ton texte Michel et je commençais à illustrer mon propos mais mon commentaire a été mangé par je ne sais quelle fausse manip Macach bono

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    1. C'est vrai,
      dans un solfège contraignant,
      la liberté est parfois, même souvent
      un peu foutraque, même beaucoup,
      donc macache bono, même chiche capon ...

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  2. Jusqu’à ce que l’on découvre ces lignes énigmatiques
    ces pas sur le sentier - traces d’une vie mystique
    les oiseaux sont de neige et de pluie confondues

    leurs plumes sont de silence et de paroles rentrées
    sur les chemins du ciel où le soir replie ses ailes
    découvrant sa couche pour un très long sommeil

    de peines en tourments et débris de feuilles mortes
    les doigts crochus des rêves déchirent la toile offerte
    pour que naissent enfin l’oiseau porteur d’étoile

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