On dit on ose on prend on se tenait : tu tournes
Il reste le plus simple : souligner les ombres Seul
au silence le cœur pour ouvrir le soleil tout haut
Aux sources tu reprends la pente ô caillou un oiseau
sous le pied Ainsi tout n’est pour rien reste la longueur
L’effort sur le monde ascèse sur toi-même la conquête
Je te tiens tu me vois nous voudrions aussi entendre
: ce qui reste au fond panier d’osier vide nous lançons
Nous ferons je le dois tu cernes je suis dans l’ombre
20 février 2024.
On ose la couleur
RépondreSupprimerles ombres gémissantes
le silence du cœur
pour libérer le soleil
aux sources les oiseaux
dans l’énigme des jours
et le dehors du monde
nous viendrons pour comprendre
ce qui reste dans l’ocre de la terre
et retrouver la couleur du monde