De rang en rang tu tires je regarde nous ramerons
Nous tiendrons les voiles par chaque coin on déplace
Tu vois je te donne cheveu pour cheveu l’un à l’autre
Des murmures l’espace le chantier tu traces je reviens
Nous sommes dans l’attente pour dire l’air sous les arbres
Les oiseaux au ciel ce qui passe ce qui murmure attendons
Il souffle retient avance je vois ce qui vole tu chantes
Nous sommes au silence : nous entendrons A la vue
le loin te tient j’avance nous irions revenus du lointain
09 février 2024.
Chaque coin levé sur poésie à Franquevaux dévoile un nouveau mystère
RépondreSupprimerLe monde souffle et souffre
Mais ici on guette obstiné
Tout ce qui passe à portée
(Faire la liste n'est pas souhaitable
Ce serait
remettre le Conteur à zéro)