La fourche on l'élevait pour porter le foin au fenil La paille elle volait sur l'aire où l'on séparait le bon grain de l'ivraie Les branches émondées Les éléphants uniquement sur les livres d'école Avant que ne passe au village le cirque de cent ans de solitude Mais le meilleur à quatre pattes c'était de tuter les grillons dans les prairies où paissaient les vaches
et font naitre un long chant
captif de trop de mots
esquisse d’une étoile
tendre la main et capturer le rêve
dans la nuit des abeilles
sous les arbres entends les voix
assemblée d’oiseaux en conciliabule
le jour avance drapé d’or
Maria Dolores Cano, 27 septembre 2025 à 09:10.
La fourche on l'élevait pour porter le foin au fenil
La paille elle volait sur l'aire où l'on séparait le bon grain de l'ivraie
Les branches émondées
Les éléphants uniquement sur les livres d'école
Avant que ne passe au village le cirque de cent ans de solitude
Mais le meilleur à quatre pattes c'était de tuter les grillons dans les prairies où paissaient les vaches
JEAN JACQUES DORIO,28 septembre 2025 à 00:35.