Je te vois je tiens une conclusion à ce désordre
Ce qu’il nous faut de sanglots pour convaincre :
Tu trembles tu souris en larmes en cercles avancés
tu contournes le vent On nous tient : commence
obscure forte silencieuse la conclusion Tu ponctues
la déraison tu tournes je te vois tu me tiens le vois-tu
Entendons-nous bien ce qu’il y a à vouloir : Les heures
déplacées les enfants oubliés un reste de raison le murmure
La forêt le bois de hêtre matériau fardeau où l’écorce brûle
15 février 2024.
Dans le désordre des marges absentes
RépondreSupprimerdes sanglots s’échappent d’entre les lignes
dénouant un à un les mots des phrases écrites
tu contournes les pages – épargnes le texte
le silence des mots ponctue toutes les lignes
pour peu que dans les actes le mot soit de démence
les heures pointent la lune au-dessus de nos mains
elles effleurent en douceur la joue rose de l’enfant
dans les forêts obscures des contes d’autrefois
Dans le secret des marges
RépondreSupprimerLa petite sirène
Et le grand méchant loup
Y es tu
Belzébuth
Le cercle de craie
La marelle des petites raies
Et le mot d'ordre des amoureux :
Pas d'actes des mots