Tu prends la course tu tires au pied ils sont enterrés
: morts à la rupture le temps pour les tenir À temps
pour oublier on murmure on reprend Ici je nous vois
nous sommes au bord Le ciel aux pieds aux orages s’il
avance sur le chemin : la fatigue Homme couru marcheur
reconnu de gré à force pour détendre la forme Au sol les
heures le niveau il reste à trouver la solution Il reste
le jeu les balles au rebond le chemin mousse arrachée
Nous espérions le paradis nous retrouvons les absents
26 février 2024.
L'enterrement des feuilles mortes sur le pré toujours vert
RépondreSupprimerLes escargots du restaurant los caracoles dans le quartier gothique de Barcelone
Nos morts vivants encore sur nos lèvres tant que vivons
Tant que nous fatiguons les chemins
Le ciel au pied les orages désirés
L'éloquence à qui l'on tord le cou