On avance on comprend - du loin au tout proche le sursaut des évidences Je tiens la corde tu tires il reste un crochet tous commentent Tu devines je suis du large je tourne je commence à l’ombre tu les cherches : là ce qu’ils font
Des feuilles fruits ou branches le cœur battant tu tournes je te lance Tu arraches ce qu’il reste d’arbres de forêts Pour faire pour composer je tire tu comprends nous sommes devant ce qui nous reste Il faut avancer au temps
Je suis du grand matin des heures comprises du silence sans défauts je cache tout je te prends je le retiens nous le comprenons de rives en bordures pour le silence La tourmente il reste le mensonge un affront soutenu
27 février 2024.
Composition en trompe l'œil
RépondreSupprimerPour cordes et trombone
Les morts dansent
Dans la coulisse
Les mots font des crochets
Sur la scène où le ring
En plein dans la mâchoire
Mémoire décrochée
On comprend - les évidences que l’on pend au crochet - Tu es je suis à l’ombre des arbres en fleurs - feuilles et fruits aux branches - le cœur bat dans l’été finissant - Tu coupes et recoupes le bois les branches les évidences dans le jardin des feuilles mortes – Tu dis et j’entends – il faut laisser le temps - les heures d’or parées de silence
RépondreSupprimerSur l’autre rive les âmes grises pourvoyeuses de nuits obscures