Il te reste à tenir - réponse insaisissable – risques - pris ferveurs souveraines je te dois tu me tiens je tourne tu constates nous allons en avance nous tournons en retard la vie le temps les prairies de rocs ou d’herbe tu tiens je devine
Reprenons le chemin sans cesser sans rien comprendre surtout sans expliquer tu lances tout revient : les petites pierres tu n’as jamais eu de fronde tu ne tiens rien ni fleurs ni épines nous sommes loin encore du sommet
Des fleurs des arbres un long parcours des traces distantes je te veux : tu observes - je ne sais tu ne comprends plus - la vie en dépendrait le temps nous immobilise tout dépend la vie absente les chemins obscurs les vallons étroits
28 février 2024.
Le temps des prairies
RépondreSupprimeret des fleurs sans épines
la vie s'absente