"Le corps est décharné, règne l’éclat, le jour, le ciel trempé, la main tendue, au retour des images, il cherche et prend, une, et une autre au devant, en lui, en lui, il se rend à sa liberté, il a pardonné, et il admire sa force et sa faiblesse, il n’est pas le géant, le corps est décharné, oiseaux perdus de fruits anciens, oiseaux nourris d’air humide : une dernière rose, avant la fin, avant le temps fermé, il est absout, avant. "
Michel Chalandon Hiver, sans manche (7/7) 30 décembre 2010
"Le corps est décharné, règne l’éclat, le jour, le ciel trempé, la main tendue, au retour des images, il cherche et prend, une, et une autre au devant, en lui, en lui, il se rend à sa liberté, il a pardonné, et il admire sa force et sa faiblesse, il n’est pas le géant, le corps est décharné, oiseaux perdus de fruits anciens, oiseaux nourris d’air humide : une dernière rose, avant la fin, avant le temps fermé, il est absout, avant. "
RépondreSupprimerMichel Chalandon
Hiver, sans manche (7/7)
30 décembre 2010
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RépondreSupprimerMerci Maria Dolores, quelle mémoire !
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