Au-devant à la fourche cherche qui viendra : la route
on contourne Pour entendre tu tiens à t’élever oh finir
On est à quatre pas tu voyais la distance difficilement
En arrière je donnerai tu prendras le reste : les fonds
La paille le rêve les éléphants d’Hannibal le vinaigre
sur la roche pour déplacer le poids en heures Nuits calmes
on compare je te vois tu veux Nous allons sous les arbres
sous ce qui tient le bec des oiseaux Difficiles ils vont étranges
je te tiens tu veux Oh avancer encore arracher les branches
12 février 2024.
Les mots s’agitent se cabrent
RépondreSupprimeret font naitre un long chant
captif de trop de mots
esquisse d’une étoile
tendre la main et capturer le rêve
dans la nuit des abeilles
sous les arbres entends les voix
assemblée d’oiseaux en conciliabule
le jour avance drapé d’or
La fourche on l'élevait pour porter le foin au fenil
RépondreSupprimerLa paille elle volait sur l'aire où l'on séparait le bon grain de l'ivraie
Les branches émondées
Les éléphants uniquement sur les livres d'école
Avant que ne passe au village le cirque de cent ans de solitude
Mais le meilleur à quatre pattes c'était de tuter les grillons dans les prairies où paissaient les vaches