Sans réduire tu ne prends rien tu cherches
Je découvre ce qui est dit ce qui est redit
Tu parles : encore oublié à battre le temps
La nature le corps fatigué tu siffles : secoue
ton oreille Je tourne je finirais tu entendras
Nous parlerons il te reste à secouer les oreilles
une après l’autre Retirer les abeilles au sommet
les arbres perdus les fleurs découvertes Tu tiens
il nous reste à trouver la main offerte le cœur ému
08 février 2024.
Battre le temps
RépondreSupprimerComme le blé
Sur l'aire
L'air de ne pas y toucher
Séparer le bon grain
De l'ivraie
Le cru et le cuit
Le siffleur du joueur
de flûte
Les oreilles de l'âne
De celles du mélomane