Dans l’ombre une toile verte les yeux ouverts
La vie immense la terre on ne le sait On ne prend
ni rêves ni cailloux Un drame : entendre le feu
la tourmente la toile verte Le feu intense je grandis
tu attrapes il nous reste des murs pierres
sans jointure La force du genou au poignet je te tiens
tu me donnes Nous ouvrons les yeux à temps un reste
de jour pour éclairer le printemps Le feu les saisons
silencieusement contraindre la main au rocher : le cœur
26 février 2024.
Au cabaret vert
RépondreSupprimerOn boit de la verte
On écrit loin des boks
Et de la limonade
Un pied près de son cœur