Tout ce qui nous retient tout ce qui vers nous
se penche Branches fleuries bouches ouvertes
à la raison Tout compris ce qui demeure : la vie
sans attaches Tu chantes liberté : penché sur le
rocher je vois Tu vis enchaîné tu tiens ce qui est
redouté cris en retours soulagements Tu répands
au sol commence Je ne vois je suis tourné tu vis je
vois les traces Murs de pierre sans jointure poignet
fermé tout glisse Reviens jour perdu chair défigurée
26 février 2024.
Fleurs aux branches
RépondreSupprimerbouches ouvertes et fleuries
la vie demeure ainsi - suspendue
un chant de liberté
dans l’enclos des rochers
un cri échappé au refuge des vergers
au sol l’ombre incessante des nuages
voies secrètes des nuits quand le souffle faillit
glissade entre les pierres le jour fleurit à nouveau