lundi 6 mai 2024

(les arbres, les oiseaux)

Ce qui est à comprendre, entends regarde la pluie l’orage devant la vie la route ce qui luit ce qui tourne tu prends tu offres nous sommes sur le point devant arrête reprendre entendre comprendre regarde ce qui est dû regarde comprends entends je te donne tu soutiens je suis sur ce qui se voit je suis sur ce qui est à entendre reviens tourne recommence je suis au clair je suis en haut plus de lien plus de tremblement je suis au renouvellement je suis à l’abandon je suis sur ce qui te vois devant encore, je vois

(les arbres, les oiseaux)

La vie au calme, je tourne tu tiens ce qui se voit ce qui te tient bouche pieds en retour cible au cœur en avant tu puises tu creuses je tourne je sens tu regardes si nous sommes si tout prend je tiens, tu recommences

(les arbres, les oiseaux)

Tout est accroché, tu tiens tu gouvernes devant nous tout serait tout devrait je tiens tu avances gouverne comprends il te reste les eaux le circuit les heures répandues ce qui tient te redresse je suis nous sommes nous irons nous venons je tiens aux branches tu mords les fruits tu avances quelle surprise je tiens la vie sauvage tu restes je reprends tu avances nous irons nous sommes sans arrêt sans retenue je suis au-devant je te regarde tu me comprends je suis sur le départ je tiens tu fermes nous sommes au départ nous sommes je suis en avant sans risque sans contrainte je te vois, tu reprends

(les arbres, les oiseaux)

Tout te tourne, je reviens devant les oiseaux tu restes au ciel tu tournes tu figures je ne comprends que ce que tu vois je tourne tu descends escalier rampe avant tout montait je descends il est allongé il est au comble tu reviens de cave de grenier on tourne tout reprend les plumes les feuilles je cherche tu comprends il se donne il est rendu il est palpable tu caresses tu reprends un choc un autre des larmes ta joie je frémis tu trembles escalier volé cœur engourdi j’avance tu reprends il en sortirait il lui faut encore du rêve de l’ambition je taille, tu comprends

(les arbres, les oiseaux)

En avance au retour les escalier la rampe le sentier le chemin la route tu descends je monte il ne reste rien tu avances je retourne sur moi de toi à ce qui est devenu une vie sans rien encore sans rien par côté la vie comprise les rêves endormis ce qui te comprends ce qui te reprends tu finis je tremble il ne me reste que le son voix étrange tout est loin il te regarde tu trembles je suis au cœur de l’incompréhension j’ai fini je t’ai gardé, tu arrives

13 septembre 2023.

1 commentaire:

  1. Voici
    des arbres
    des oiseaux de pluie
    et de vie

    et puis
    voici
    ce qui suit
    la vie au calme
    le cœur en bouche
    partage des eaux
    heures sacrées

    voici
    des branches
    des fruits mûris
    la chair des mots
    visage du ciel
    les plumes au vent
    feuilles de vie
    larmes de joie

    voici
    le rêve
    sa caresse brève
    le sentier de pierres
    les arbres en chemin
    les oiseaux sans fin.

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