Ce qui est à comprendre, entends regarde la pluie l’orage devant la vie la route ce qui luit ce qui tourne tu prends tu offres nous sommes sur le point devant arrête reprendre entendre comprendre regarde ce qui est dû regarde comprends entends je te donne tu soutiens je suis sur ce qui se voit je suis sur ce qui est à entendre reviens tourne recommence je suis au clair je suis en haut plus de lien plus de tremblement je suis au renouvellement je suis à l’abandon je suis sur ce qui te vois devant encore, je vois
La vie au calme, je tourne tu tiens ce qui se voit ce qui te tient bouche pieds en retour cible au cœur en avant tu puises tu creuses je tourne je sens tu regardes si nous sommes si tout prend je tiens, tu recommences
(les arbres, les oiseaux)
Tout est accroché, tu tiens tu gouvernes devant nous tout serait tout devrait je tiens tu avances gouverne comprends il te reste les eaux le circuit les heures répandues ce qui tient te redresse je suis nous sommes nous irons nous venons je tiens aux branches tu mords les fruits tu avances quelle surprise je tiens la vie sauvage tu restes je reprends tu avances nous irons nous sommes sans arrêt sans retenue je suis au-devant je te regarde tu me comprends je suis sur le départ je tiens tu fermes nous sommes au départ nous sommes je suis en avant sans risque sans contrainte je te vois, tu reprends
(les arbres, les
oiseaux)
Tout te tourne, je reviens devant les oiseaux tu restes au ciel tu tournes tu figures je ne comprends que ce que tu vois je tourne tu descends escalier rampe avant tout montait je descends il est allongé il est au comble tu reviens de cave de grenier on tourne tout reprend les plumes les feuilles je cherche tu comprends il se donne il est rendu il est palpable tu caresses tu reprends un choc un autre des larmes ta joie je frémis tu trembles escalier volé cœur engourdi j’avance tu reprends il en sortirait il lui faut encore du rêve de l’ambition je taille, tu comprends
(les arbres, les
oiseaux)
En avance au retour les escalier la rampe le sentier le chemin la route tu descends je monte il ne reste rien tu avances je retourne sur moi de toi à ce qui est devenu une vie sans rien encore sans rien par côté la vie comprise les rêves endormis ce qui te comprends ce qui te reprends tu finis je tremble il ne me reste que le son voix étrange tout est loin il te regarde tu trembles je suis au cœur de l’incompréhension j’ai fini je t’ai gardé, tu arrives
13 septembre 2023.
Voici
RépondreSupprimerdes arbres
des oiseaux de pluie
et de vie
et puis
voici
ce qui suit
la vie au calme
le cœur en bouche
partage des eaux
heures sacrées
voici
des branches
des fruits mûris
la chair des mots
visage du ciel
les plumes au vent
feuilles de vie
larmes de joie
voici
le rêve
sa caresse brève
le sentier de pierres
les arbres en chemin
les oiseaux sans fin.