mercredi 14 août 2024

Un nom suspendu.

Ardeur à comprendre je tourne et furieusement je tremble et tu vacilles : y sommes-nous encore tout va ici recommençant nous sommes d’un pays nous sommes de l’entendement des forces et du silence nous allons nous contenons nous irons et devant et encore je suis ici on passe entre les feuilles on reprend je te tiens et tu encombres incomparable nous sommes au-devant je traine et tu grappilles formes dorées tout arracher des branches des scions de troncs écartelés tu te demandes irons-nous encore te connaitrais-je encore pour devant pour demander si tout est compté si tout revient je te donne tu me prends 

En suivant en demeurant tout tourne et te confond tout tient et tu arraches des heures et des jours sanglots et tremblements on écoute ce que tu as à dire et tout ici renonce et dévoile la violence la vie suspendue les erreurs la joue arrachée les routes au retour je te tiens tu inondes soleil présent rires sans suite je suis sur ce devant je tourne et tu recommences nous allons nous venons tirons un fil ouvrons les yeux tout te sèche et je contiens tu vas de ce retour à ces insomnies

Un rêve long et noir une figure et l’aplomb tout tombe tout tient sur ce qui te reste de souvenirs les planches les outils le fil la règle sans crainte et un trésor devant ce qui reste ils ont compris et tout te tient un reste d’herbe verte des arbres et des feuilles un mélange et tu troubles vert breuvage suite et confusion tu me condamnes je suis fourbu il revient de promenade insecte et noir et sans raison que te tient que te donne tu marches à l’épuisement tu songes jambe humide et coule et flotte et reprend tu entends un nom et au pavé le trouble et on évite il ne faut pas rentrer dans l’éternité des pierres et du métal tout tourne et tu devines

Un nom suspendu des images la force le soleil ce qui brille et comprend je reviens fourbu de promenade je tourne bien avant pour éviter ce vide éternel au-devant au report tu traines je devine : la raison est très simple il te faut fuir et ne rien entendre sans dire sans faire sans contact seulement ce qui manque la passion  je te tiens et tu encombres incomparable nous sommes au-devant je traine et tu grappilles formes dorées tout arracher des branches des scions des troncs écartelés un moment pour penser le corps pour le retour et la main tout te tient te caresse un jour tremblé une erreur un écho il faut se dire et se comprendre il faut tenir il faut reprendre la vie avance les heures nous oublient nous sommes sans trêve et sans repos et fourbus je reviens de promenade je tourne et furieusement je tremble et tu vacilles y sommes-nous encore tout va ici recommençant.

20 novembre 2023.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire