De cercles pour cercles tu vas l’amble tu tournes
Andains à sécher tu frottes aussi les pieds Il est
: tu avances tu comprends nous finirons ensemble
Une haie d’épines je trace le vent à la vue les eaux
Le sens des choses vues il reste des saisons Restent
des herbes tu fauches tu retournes andains venus
Sans comble sans retour il ne faut pas boire l’eau à
la citerne Oiseaux perdus les herbes se dégradent Tiens
au bout des doigts le traceur avance de droites en courbes
19 février 2024.
Ici je retrouve les traces de mon père
RépondreSupprimerQui accomplissait vaillamment son journal
Le laboureur et son enfant guidant ses boeufs
Le geste auguste du semeur
Le faucheur des andains avec une faux qu'il piquait chaque soir pour lui redonner du mordant
Tant que vivrai il ne sera pas mort
Mais demeurera endormi
Sous la terre qu'il a tant fatigué