(le tiers à quatre)
Pour comprendre et dire une fois en plus : il reste un et le tiers du plus grand au plus humble, sur la terre, sur les ondes, il se pourrait vraiment, la vengeance t’attend, tu restes et tu seras devant le monde, devant le ciel, un trou un peu devant
Et plus tu imagines des erreurs la gloire, le printemps en attente, tout sort de terre temps mesuré, clefs dans la serrure, serrer, fermer et mordre sur les livres, un tour d’écrou et de temps, je tourne, tu fabriques avalons et marchons, un pas et des pieds, autour des arbres couronnes et diamants, je te retiens, tu m’as donné des noms merveilleux, je te soutiens, tu me gratifies, je tiens, tu avances, un pas, un bloc, un temps
(le tiers à quatre)
Des heures en avance pour atteindre l’éclat, poussière et turbulences, devant le doute, devant ce qui reste à découvrir du calme, des sanglots, entre le rire et sur les larmes, je te tiens, tout au ciel commence devant, tu retournes
(le tiers à quatre)
Et des chansons de trois en trois, d’éblouissements en éblouissements, du plus à l’avant, au rideau, tu déroules le charme, avancer, reculer, rêver, dormir, devant l’état du monde, devant le flot, tout cesserait vraiment, tout agirait, vraiment, devant, en plus, et connu, et tenu, à rendre, il faut, faut-il du sucre et des images, des courroies pour tenir les mâts et les amarres, attacher, détacher, dérober, devant au plus loin, petit homme reclus, petit acteur rompu, petit écheveau sur la piste, ta vie balance, devant tu te fies au tiers et au quatre, devant la misère, au dam tu côtoie les périls, tu tiens au bout des doigts le compte et le reste, un sac de poux, un cent de noix, des poignées de farine, du sel en abondance, pour réfléchir, les yeux dans le miroir au bord tendu, au pied déçu avances-tu, retournes-tu d’une évidence à l’autre, des images cumulées, la courroie, les eaux assemblées, comme un reste oublié, une noix de beurre, pour comprendre et dire une fois en plus : un, il reste
(le tiers à quatre)
Du plus grand au plus humble, sur la terre, sur les ondes, il se pourrait vraiment : la vengeance t’attend.
22 mars 2023.
RépondreSupprimerUn tiers d’humilité sur la terre. La terre exulte, la flore jubile, quatrain de gloire, quatrain d’argent, corps mis à nu dans l’or du temps. Le ciel troué d’images illustres.
Le doute est grand devant l’absent. Les heures sont grises, sanglots de sang entre les rires d’un monde si grand. Chansons de gloire, d’éblouissements, de rêves absents face à ce monde aux dents d’argent.
Livre d’images, tempes du temps, hommes repus de gloire d’argent, monde reclus au firmament. Il reste le grand chambardement, sur cette terre miroir sans tain au sel d’argent.