(ce qui est connu et ce qui est reçu)
Et tout est à reproduire je te conduis tu me menaces je suis précis et sur tout, les regards sont posés aux angles souverains aux fortunes remarquables au loin contenu à la vérité posée un petit point comme un peu de terre et qu’elle île et quelle remarque je tourne et tu augmentes ce qui reste de force ce que contient le sacrifice un petit point sur la lèvre supérieure et dans et sous on ne sait pas toujours c’est un résumé du monde qui entoure, lèvre posée, ainsi le sacrifice ainsi la joie ainsi les regrets la mort lente toute insinuée en toute circonstance en tout événement je suis à la ligature le monde des eaux et le monde de terre liés par le feu et l’air s’envole et juste et droit en direction des marais tout oscille et s’insinue et suivant et tremblant et la remarque et le jour posé et les vagues et les épaules tout soutien et renforce ce point de chair et dans et sur et sous la lèvre supérieure je suis posé tu donnes et nous comprenons un point qui réduit la distance tout est concentré et tout tient le poids de chair la juste chose en droit et force le souffle est converti, je te tiens et tu me forces nous sommes à l’engrenage devant ce qui est resté trop longtemps mystérieux devant ce qui commence devant ce qui appui, d’entre les morts tout est relevé devant et encore les races accumulées les rayures et le doigt du menton au front sous la gorge et le geste est terrible nous sommes en partance et nous rêvons départs et retours inassouvis choses inespérées vertus et forces,
(ce qui est connu et ce qui est reçu)
Un monde de chair au-dessus des eaux entre la dureté des circonstances et la ferveur les choses inventées les larmes et le reste en arrêt, complication et lignes sinueuses le court le droit l’essentiel et le spongieux le flexible ce qui est étiré ce qui est engorgé enfoncé perdu et bien trop loin ce qui ne rassemble pas les choses dispersées, un petit point qui glisse et recommence et qui rassemble sur ce fil tu poses les émotions une à une le cœur du sujet le cours des ans le flot de sang les rêves et les cailloux les cicatrices la vie errante le sens le mouvement,
(ce qui est connu et ce qui est reçu)
La tête réfléchit et le cœur palpite, de tout et de loin de rires et de larmes le point du ciel est en avance du ciel posé des heures pointées heures sombres jours suivis de rêves et de succès ils étaient proches ils sont encore où l’air s’envole où le cœur se renouvelle, je suis parti et je suis porté, le geste est terrible nous sommes en partance et nous rêvons départs et retours inassouvis choses inespérées vertus et forces, ainsi le sacrifice ainsi la joie ainsi les regrets et soutenu poids de plume et ciel envolés les nuages, le rêve du monde concilié à ce point de chair sur la lèvre supérieure.
RépondreSupprimerregards
souverains
au loin
la terre
une île
petit point
dans le monde
la joie
des eaux
liées
aux vagues
ce point
de chair
sous la lèvre
le souffle
mystérieux
des rêves
au-dessus
des eaux
larmes
lignes
sinueuses
spongieuses
engorgées
petits points
sur le fil
des émotions
le cœur des ans
le sang des rêves
leurs cicatrices
palpitations
les rires
les larmes
du ciel
des heures
sombres
des rêves
clairs
le cœur porté
et en partance
la joie
regrets de plume
ciel envolé
ce point de chair
le rêve du monde
un nuage passe
un autre suit
là-bas là-bas
les merveilleux nuages