Il est bel et bon, et toi aussi, ensemble, qualité et vertu, beauté passant, bonté demeurant, à l’entour, au revenir, au comment être, à la puissance, je te chasse et tu rugis, murmurant et devenant, je te tiens et tu ignores, et tu, et toi, et nous, et moi, beauté, bonté, qualité et vertu, restons, à l’alphabet, balbutions,
à la contre-marque, et retenu, et ondulant, sous les cieux tout reste propre, et rayonnant, et ondoyant sous la charge, pour que les rythme soit réciproque, et pique, et ploie, et défini, et reprends, je te suis et tu m’enchantes, et tu, et toi, et moi, et nous, je te cerne et tu me cherches, et retenant,
ondulant en onde sûre, tournoyant, compliquant, bonté et beauté, tout ici qui est le bien suprême, les yeux ou l’âme, je te revois, tu me cherches, corps déployé, cœur enlacé, bouche ouverte, et reprends-toi, et comble, comble enfin, enfin le vide, rêve étrange et fascinant, sur le côté, tourné, rompu et deviné,
tu te suggères, tu précipites, les yeux au retour, tout ici chavire, je te tiens et tu supportes, un poids de plaisir, un cent de cordes et de liens, des marges au précipice, toit au-devant, en tout, cumule, je te tiens et tu me serres, et contenu, et voulu, et posant sur le sol pattes et griffes, tout au-devant,
tu renouvelles, ton poids de pierres et d‘eau, barque immobile, le temps balance après, après, je te revois et tu bouscules, vie en avance et pied léger, revenu et tendu, en avant des frondaisons, une corde et un lien, tout est définitivement tenu, je te vois et tu comprends, une douzaine, un cent de clous,
devant, et plus, et plus, encore et encore, tu montres ta tendresse, tu cernes tes passions, tu reviens et de branches en branches, oiseau pointu, cœur en balance, vie posée, toi aussi tu détournes, je te vois et j’entends, nous sommes à cette dérive, cette ou la, et, cette et la, je te vois et tu me griffes, devant,
corps détourné, œil effacé, jambe tendue, et la mer et les jours, et le ciel et le soleil, noyés en fond de barque, la lune dans un seau, il est bel et bon, qualité et vertu, je te cerne et tu me cherches.
05 janvier 2023.
à la contre-marque, et retenu, et ondulant, sous les cieux tout reste propre, et rayonnant, et ondoyant sous la charge, pour que les rythme soit réciproque, et pique, et ploie, et défini, et reprends, je te suis et tu m’enchantes, et tu, et toi, et moi, et nous, je te cerne et tu me cherches, et retenant,
ondulant en onde sûre, tournoyant, compliquant, bonté et beauté, tout ici qui est le bien suprême, les yeux ou l’âme, je te revois, tu me cherches, corps déployé, cœur enlacé, bouche ouverte, et reprends-toi, et comble, comble enfin, enfin le vide, rêve étrange et fascinant, sur le côté, tourné, rompu et deviné,
tu te suggères, tu précipites, les yeux au retour, tout ici chavire, je te tiens et tu supportes, un poids de plaisir, un cent de cordes et de liens, des marges au précipice, toit au-devant, en tout, cumule, je te tiens et tu me serres, et contenu, et voulu, et posant sur le sol pattes et griffes, tout au-devant,
tu renouvelles, ton poids de pierres et d‘eau, barque immobile, le temps balance après, après, je te revois et tu bouscules, vie en avance et pied léger, revenu et tendu, en avant des frondaisons, une corde et un lien, tout est définitivement tenu, je te vois et tu comprends, une douzaine, un cent de clous,
devant, et plus, et plus, encore et encore, tu montres ta tendresse, tu cernes tes passions, tu reviens et de branches en branches, oiseau pointu, cœur en balance, vie posée, toi aussi tu détournes, je te vois et j’entends, nous sommes à cette dérive, cette ou la, et, cette et la, je te vois et tu me griffes, devant,
corps détourné, œil effacé, jambe tendue, et la mer et les jours, et le ciel et le soleil, noyés en fond de barque, la lune dans un seau, il est bel et bon, qualité et vertu, je te cerne et tu me cherches.
05 janvier 2023.
RépondreSupprimerBonté et beauté
un balbutiement
un enchantement
sous les cieux
les yeux dans l’âme
le cœur en bouche
corps d’ambre en plein été
quel est ce rêve étrange
cette barque en allée
ses sillons de tendresse
laissent place à l’oiseau
le premier de l’été
beauté et bonté
comme rêve étrange
au cœur de l’été