De nouveau nous y sommes, ce monde déchiré qui le recoudra. Sous les
pierres de l’ennui on lapide ce qui résiste. Entends-tu le désastre ?
Dans
ton cœur plein d’images, tu cherches la lumière, la caresse du temps.
Ce souvenir des choses d’un temps révolu, entre ici et ailleurs où tout
est confusion.
Sommes-nous la détresse ? Sommes-nous le sable du sablier ? Sommes-nous l’allégresse ou la douleur accumulée ?
La clé égarée d’un monde civilisé.
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