La joie des anges
un souffle sous la pierre
d’heure en heure
une fable de concert
la jeunesse lointaine
__
Tu renies trois fois
les oiseaux et les branches
l’envol silencieux
de l’oiseau blanc des sables
renaissant de ses cendres
__
Ombre des serments
à la source tout tremble
la vie au tournant
le cercle se referme
sur l’enfant du silence
__
Comme un tremblement
le souffle de la source
joie de la pierre
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