(tu comptes sur, tu reviens dans,)
Des rochers on se fracasse, on entend, tu reviens, tu tournes si cela va, si tout tient, au calme et au répit, je suis ici et en avance, de loin, de près, des choses éclatées, du calme, souverain, disposé, reconnu, du sable pour le temps, les yeux au soleil, les mains dans les poches, bienvenu, bien faisant, avec des histoires et de l’attention, tu comprends ce qui te retient : les oiseaux, le bord des routes, et la question, tiens-tu tant, tiens-tu bien, et comment, et le reste, la figure sous les eaux, sous le regard, les branches aux arbres, les feuilles, et sous, et sans, comptant et revenant, et sur, et dans, une histoire, le pied avance, tout te revient, la lueur et l’espoir, la vie en avance, ce qui domine, les heures au soleil, les heures, et goutte à goutte on arrose, on reprend, tout tient dans chaque goutte, le ciel, le soleil et le souvenir des étoiles, tu penses si petites et si nombreuses, pour oublier le sable soufflé, la peau heurtée, pour rencontrer les vagues et les draps, tout frappe et tout compte, le linge, le soleil, les vagues, tu penses les splendeurs, splendidement retenu, contenu, le beau, le calme et le souffle, défendu, les branches une à une, les feuilles, le sang, les bras, le lointain, un pied posé encore et encore, le chemin, le rivage, les jours coulent et heureux et tranquilles, tout brille soleil et difficultés, au soleil à l’aplomb, un fil, un câble, tout au présent, tout commence, et au fond du jour, au soir venu les traces disparaissent, connues et retenues
(tu
comptes sur, tu reviens dans,)
Entends-t-on ce qui vient, et regardez, et comprenez, tout vient au point, attendu et comparé, tu cherches les gouttes d’eau, dans le soleil qui tranche et coupe, et mort, et retenu, et comparé, les pierres, le sable, les constructions effondrées, les yeux lavés d’évidences en évidences, de loin en loin, au prochain et à la marge les comptes envolés, et oui, ce qui retarde, tu entends le combat, faisons-nous rage, faisons-nous bien, et tenir, et engendrer, je fais, tu avances, du ciel, du sol tout recommence, soir venu, douleur portée, tu avances, comptant et revenant, et sur, et dans une histoire, le pied avance et je comprends, en ouverture, en évidence, le beau, le calme et le souffle retenu, les choses imagées, les couleurs et le temps, tout passe, et lave, et reprend, le soleil, les vagues, et tout, on reprend tout, imprégné tu chantes, et tu comprends, peau obscure, ouvert et découvert, fibre, tout avance, textile au soleil, à l’aplomb, un fil, un câble, tout au présent, tout commence, au fond du jour, au soir venu, les traces disparaissent, et connues, et retenues, couronne devant, en abondance, en compliment, tu admires et tu reprends, le pied lancé, le dos le porte, et je descends un pied sur l’autre, le sable soufflé, la peau heurtée, les erreurs, les choses terminées, la vie commencée, je tourne et avance, un pied posé encore et encore, le chemin, le rivage, les jours coulent, et heureux, et tranquille, posé et avance, des rochers on se fracasse, on entend, tu reviens, tu tournes, si cela va, si tout tient,
(tu
comptes sur, tu reviens dans,)
Comment tenir et sans comprendre, le pied posé sur le sable, les jours coulés, les heures effacées, tout brille, soleil et difficultés, à l’aplomb, un fil, un câble, tout au présent, tu chantes le sable soufflé, la peau heurtée, le beau, le calme, tu comprends, peau obscure, ouvert et découvert, comptant et revenant, et sur, et dans, une histoire, le pied avance.
23 juillet 2023.
Tu comptes les rochers
RépondreSupprimeret tu reviens au calme
disposé - souverain
au soleil
avec des histoires d’oiseaux
de figures sous les eaux
une lueur d’espoir
et le souvenir des étoiles
tu souffles le sable
il heurte ta peau
les vagues
comme des draps
splendidement retenus
au fond du jour
entends-tu ce qui vient
ces gouttes d’eau dans le soleil
la morsure des pierres
dans la marge le combat
de ces choses imagées
aux couleurs délavées
aux traces disparues
sous l’or du soleil
un fil
un aplomb
un câble à l’horizon
la vie recommencée
un pied posé
un autre pied
la rive
appelle le jour
le jour appelle
le beau – le calme
sur la peau