mardi 30 janvier 2024

(tu comptes sur, tu reviens dans,)

(tu comptes sur, tu reviens dans,)

Des rochers on se fracasse, on entend, tu reviens, tu tournes si cela va, si tout tient, au calme et au répit, je suis ici et en avance, de loin, de près, des choses éclatées, du calme, souverain, disposé, reconnu, du sable pour le temps, les yeux au soleil, les mains dans les poches, bienvenu, bien faisant, avec des histoires et de l’attention, tu comprends ce qui te retient : les oiseaux, le bord des routes, et la question, tiens-tu tant, tiens-tu bien, et comment, et le reste, la figure sous les eaux, sous le regard, les branches aux arbres, les feuilles, et sous, et sans, comptant et revenant, et sur, et dans, une histoire, le pied avance, tout te revient, la lueur et l’espoir, la vie en avance, ce qui domine, les heures au soleil, les heures, et goutte à goutte on arrose, on reprend, tout tient dans chaque goutte, le ciel, le soleil et le souvenir des étoiles, tu penses si petites et si nombreuses,  pour oublier le sable soufflé, la peau heurtée, pour rencontrer les vagues et les draps, tout frappe et tout compte, le linge, le soleil, les vagues, tu penses les splendeurs, splendidement retenu, contenu, le beau, le calme et le souffle, défendu, les branches une à une, les feuilles, le sang, les bras, le lointain, un pied posé encore et encore, le chemin, le rivage, les jours coulent et heureux et tranquilles, tout brille soleil et difficultés, au soleil à l’aplomb, un fil, un câble, tout au présent, tout commence, et au fond du jour, au soir venu les traces disparaissent, connues et retenues

(tu comptes sur, tu reviens dans,)  

Entends-t-on ce qui vient, et regardez, et comprenez, tout vient au point, attendu et comparé, tu cherches les gouttes d’eau, dans le soleil qui tranche et coupe, et mort, et retenu, et comparé, les pierres, le sable, les constructions effondrées, les yeux lavés d’évidences en évidences, de loin en loin, au prochain et à la marge les comptes envolés, et oui, ce qui retarde, tu entends le combat, faisons-nous rage, faisons-nous bien, et tenir, et engendrer, je fais, tu avances, du ciel, du sol tout recommence, soir venu, douleur portée, tu avances, comptant et revenant, et sur, et dans une histoire, le pied avance et je comprends, en ouverture, en évidence, le beau, le calme et le souffle retenu, les choses imagées, les couleurs et le temps, tout passe, et lave, et reprend, le soleil, les vagues, et tout, on reprend tout, imprégné tu chantes, et tu comprends, peau obscure, ouvert et découvert, fibre, tout avance, textile au soleil, à l’aplomb, un fil, un câble, tout au présent, tout commence, au fond du jour, au soir venu, les traces disparaissent, et connues, et retenues, couronne devant, en abondance, en compliment, tu admires et tu reprends, le pied lancé, le dos le porte, et je descends un pied sur l’autre, le sable soufflé, la peau heurtée, les erreurs, les choses terminées, la vie commencée, je tourne et avance, un pied posé encore et encore, le chemin, le rivage, les jours coulent, et heureux, et tranquille, posé et avance, des rochers on se fracasse, on entend, tu reviens, tu tournes, si cela va, si tout tient,

(tu comptes sur, tu reviens dans,) 

Comment tenir et sans comprendre, le pied posé sur le sable, les jours coulés, les heures effacées, tout brille, soleil et difficultés, à l’aplomb, un fil, un câble, tout au présent, tu chantes le sable soufflé, la peau heurtée, le beau, le calme, tu comprends, peau obscure, ouvert et découvert, comptant et revenant, et sur, et dans, une histoire, le pied avance.          

23 juillet 2023.

1 commentaire:

  1. Tu comptes les rochers
    et tu reviens au calme
    disposé - souverain
    au soleil
    avec des histoires d’oiseaux
    de figures sous les eaux
    une lueur d’espoir
    et le souvenir des étoiles

    tu souffles le sable
    il heurte ta peau
    les vagues
    comme des draps
    splendidement retenus
    au fond du jour

    entends-tu ce qui vient
    ces gouttes d’eau dans le soleil
    la morsure des pierres
    dans la marge le combat
    de ces choses imagées
    aux couleurs délavées
    aux traces disparues

    sous l’or du soleil
    un fil
    un aplomb
    un câble à l’horizon
    la vie recommencée
    un pied posé
    un autre pied
    la rive
    appelle le jour

    le jour appelle
    le beau – le calme
    sur la peau

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