(serre et tiens et retourne,)
Rien à en dire et tout à effacer ils reviennent et nous célébrons culte de jour et adieu de nuit de loin et de proche volets tirés et bouches closes tu en es : tu en serais de proche et de loin de calme et d’orage de tout en tout et d’escalades en rapprochements, célébrations et ce qui te retiens des poissons et des pécheurs de barques et de cordes comme si l’on disait pensons agissons célébrons les jours heureux et les cannes se lèvent paradis et confidences nous en sommes au détour, nous en sommes au-devant ils tiennent et nous serrons et le poignet retourne et les doigts moulinent et pécheurs et contrastes et bouches entrouvertes nous en sommes ici au retour et calme et brûlant il y a des heures dures des poids au programme des conseils
(serre et tiens et retourne,)
Ils sont ici et ici il y sont et relance la machine les coffres de fer les rouages les yeux perdus tu tournes et tu remontes le reste vers la rive poissons et grillages tout est à oublier tout est à rendre à penser on avance on devient on tente et on enjambe le bateau des jours heureux des enfants sur la rive à forcer les poissons à reprendre les fils dans les racines dans le temps clair et tu te renouvelles à l’entrée il reste à dire le temps clair ce qui compose et tu tiens tes registres sur le bout des doigts on compte on accélère on reprend on s’attribue et je te tiens et je distribue les idées en vagues lentes au rythme des jours heureux au retour des comptes sur le sable les heures perdues les remords et l’angoisse attendre entendre tenir et retenir et supplier que cesse le vacarme nous sommes au-devant nous sommes à l’avance en avantage en comparaison tu tiens le registre des jours heureux et remarquables
(serre et tiens et retourne,)
En haut en bas en jours et en années la confusion dans les affaires les heures publiées les victimes le toit sur la tête et le soleil en haut du mat à l’avantage à la confusion, au paradis au retour du calme des grandes choses du bien et du registre des choses emmêlées du sable sous les pieds du triste et du terrible, je te cherche et tu me nommes ils sont ici et ici il y sont et relance la machine les coffres de fer les rouages la liberté et tu cries et tu racles du haut vers le bas des échanges et des erreurs ce qui est imposé ce qui est croisé un avantage des abris des coffres de fer et tout ici retiens le jour il te revient la nuit elle est en place et sans avance à chaque heure suffit sa raison du trouble et de l’ancien le monde repeuplé l’espoir est allé tu devines et tu entretiens ce qui est le mécanisme qui retourne sous les doigts qui avance et qui te défigure poids posé cœur anxieux voiles démesurées et rouges et blanches des fers au feu et avance sous les arbres feuilles tombées
(serre et tiens et retourne,)
tu cries et tu racles du haut vers le bas cœur ignoré heures perdues et jours heureux.
08 juillet 2023.
Rien à effacer
RépondreSupprimerde loin
bouches closes
célébrations des poissons
aux jours heureux
les yeux perdus
vers la rive
des enfants
disent le temps
du bout des doigts
au rythme des jours
heureux
sur le sable
les heures coulent
au paradis des choses emmêlées
je te cherche
ici
le jour
la nuit
chaque heure
sous les doigts
cœur anxieux
sous les arbres