Le cœur de la mémoire posé là, sur le sable. Le soleil est en route, il caresse les branches, réjouit les oiseaux. Le ciel chicane les vagues, et tout recommence, les rires et les pleurs, le sable, ses cavalcades.
Il reste la douceur, la vérité ailleurs, l’eau et sa rumeur. Au loin, des histoires de plage et l’écho du grand large, le sel de la vie, le sucre des rêves, le silence et la grâce.
La mémoire du sable sur la
rive du temps, de mousse et de pierre, ses oreilles d’argent. Dans le
cœur de la vague les abysses de l’histoire, sa noirceur, ses trésors, sa
couleur pourpre sur l’eau.
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