Il
faudrait du bleu et des oiseaux dans le silence des pliures. Il
faudrait de la lumière sur la rive pour que le cœur prenne corps.
Prendre le ciel dans les eaux des rivières, et distribuer les graines
aux quatre vents.
Les heures avancent, griffent le ciel, battent
la terre. L’épaule se déchire sous le poids du soleil, près du cœur une
empreinte, petit grain de lumière.
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