Des pleurs, des larmes et des griffes amères, la soif est meurtrière, le temps est lourd, le reste est compliqué, tourné au début, tordu et sans suite, sans poitrine pour chanter les yeux, sans rien au cœur pour dire : tout chante, tout est confus.
On est obstiné, chercher, sans marcher rendre à l’âme sa clarté, son jour immense, son teint délicieux. Il faut laver le ciel et prendre dans la bouche une eau propre, il en pleut de toute part et rien ne dit : il faut chanter le monde, ici et maintenant.
Il est perdu sur son chantier, il est perclus, la mort est une faveur, le tombeau le rassemble.
13 Août 2012.
La mort est une offrande, les pleurs une gratitude. Souvenirs amers de soif et de griffures. Le cœur est en sautoir sur la poitrine ouverte.
RépondreSupprimerImmensité de l’âme, ses yeux ouvrent le ciel. Il pleut une eau lumière. Le monde est une étoile.
La mort est une présence, les pleurs une ouverture, dans sa poitrine offerte le cœur est allégresse.