Je ne pense plus, dire oui, et dire, ceci, cela, et hésiter, dire non, une plaisanterie, et oui et non.
L’histoire, la vie, jetées aux yeux, tout passe entre l’un et l’autre, tout passe de l’un à l’autre.
Où donc va ce chien, de son histoire à la notre, du plus petit au plus grand, le décor a une histoire.
On arrache les mauvaises herbes, au fond, jardin, je poserai seul mes armes, ma bannière, héros terrible.
Tu vas, tu viens et tu inventes une variation. En promesse de vent, je cherche les feux éteints.
Tout comptera vraiment, le vent souffle, les yeux fatiguent à l’horizon, tout est calme et tranquille, ils auront vraiment vécu.
On y passe, sans voix ils ont peur, tout lance au ciel, ils se battront et s’embrasseront, ils figeront l’avenir, frères ennemis, soutenus du plus haut, du plus miséricordieux, ils tueront pour réconcilier.
Je ne pense plus oui, non, en plus, en moins. Tout se transformera, tout est une plaisanterie, tout.
12 Août 2013/10 Août 2014.
Dire
RépondreSupprimerl’histoire
grandes équipées
petits destins
les herbes folles dans les jardins
armes oubliées ___ vie retrouvée
métamorphose
vents destructeurs
passe le temps
les voix sont grises
la peur exquise
luttes sans fin
d’abord l’instinct
supplication
mensonges constants
le ciel absent