Pour y croire et connaître sans raison, sans erreur, le fond et toute chose, les germes mélangés, le ciel évanoui, la clarté vive, les fleurs ouvertes, ils tirent et lancent au ciel des pierres et des grains, lumière en souvenirs et trésors de l’ombre, ils enlacent et donnent des miroirs aux absents.
Y étiez vous hier, y serez vous un jour, pour y croire et porter le poids de toutes choses, toutes sues avec le cœur ou devinées simplement, toutes choses connues, reconnues, souhaitées. Au ciel sont toutes les roses, les mains tendues, les cœurs absents, ils manquent et plus rien n’appelle ni ne prend, ils sont évanouis au loin, près des étoiles, au loin, au près ils sont, ils sont et posés et pensés et rêvés et conclus.
Ils y sont et on croit et on craint, sagesse folle et vanité vraie, les tourments et la confusion, le mérite et le courroux. Qui d’eux tous déclenche les aurores, qui éteint le jour et dépose la nuit.
Ils sont présents et sûrs et toujours ils disposent le grain pour les jaloux, le miel pour les méchants, la joie et le repos pour tous et même les injustes. Ils disent le soleil luit pour chaque chose, le ciel est ouvert à tous, ils y sont, déposés et rangés, un pour un. Toute raison meurt et tout le comment est dit.
Il n’y aura plus de raison, il n’y aura plus rien, il n’y aura plus de questions. Ni y être un jour, ni y être jamais, les fleurs s’en vont et tout revient. Un jour l’eau est à nouveau la même, ils boivent et se lavent, ils chantent et tournent, eaux assemblées enfin, choses recomposées, une moitié posée au jour.
L’un à l’autre tout autant, tout devant, sans ombre, sans nuage, dans la lumière, dans le jour, sans plus de nuit, sans plus de mal, je fermerai tes yeux et soufflerai ton cœur au vent qui tourbillonne, aux vagues qui battent et au sable. Posés, oubliés, nous connaîtrons, sans raison, sans erreur, le fond et toute chose.
27 Juillet 2013.
Y étiez vous hier, y serez vous un jour, pour y croire et porter le poids de toutes choses, toutes sues avec le cœur ou devinées simplement, toutes choses connues, reconnues, souhaitées. Au ciel sont toutes les roses, les mains tendues, les cœurs absents, ils manquent et plus rien n’appelle ni ne prend, ils sont évanouis au loin, près des étoiles, au loin, au près ils sont, ils sont et posés et pensés et rêvés et conclus.
Ils y sont et on croit et on craint, sagesse folle et vanité vraie, les tourments et la confusion, le mérite et le courroux. Qui d’eux tous déclenche les aurores, qui éteint le jour et dépose la nuit.
Ils sont présents et sûrs et toujours ils disposent le grain pour les jaloux, le miel pour les méchants, la joie et le repos pour tous et même les injustes. Ils disent le soleil luit pour chaque chose, le ciel est ouvert à tous, ils y sont, déposés et rangés, un pour un. Toute raison meurt et tout le comment est dit.
Il n’y aura plus de raison, il n’y aura plus rien, il n’y aura plus de questions. Ni y être un jour, ni y être jamais, les fleurs s’en vont et tout revient. Un jour l’eau est à nouveau la même, ils boivent et se lavent, ils chantent et tournent, eaux assemblées enfin, choses recomposées, une moitié posée au jour.
L’un à l’autre tout autant, tout devant, sans ombre, sans nuage, dans la lumière, dans le jour, sans plus de nuit, sans plus de mal, je fermerai tes yeux et soufflerai ton cœur au vent qui tourbillonne, aux vagues qui battent et au sable. Posés, oubliés, nous connaîtrons, sans raison, sans erreur, le fond et toute chose.
27 Juillet 2013.
RépondreSupprimerLe ciel est en clarté
fleurs vives sur les pierres
grains de lumière
trésors de la terre
les absents de l’autre côté du miroir
un jour les choses seront sues
cœurs simples sur l’étoile ___ ciel rose
mains ouvertes aux rêves
folle vérité à l’origine du monde
la nuit dépose son voile sur l’épaule du tendre
le grain est pierre de lune
le miel une joie pour les enfants
ils décrochent le soleil ___ ils sont UN
la raison est aux simples et aux justes
les fleurs glissent sur l’onde
le silence s’installe sur le fleuve
l’eau est claire au parfum de rose
le jour appelle la lumière ___ éclat
les cœurs s’enflamment sur le sable
la vie posée là ___ nue sur la berge