En raccourci, une forfaiture, une voile retendue sur l'onde et les yeux, je te tiens, et tu tournes, et tu grandis encore, force méconnue et touche oubliée, le cœur en harmonie, penché sur la barque, dérobe et se tait, et ne finit ni jour, ni heure, je suis, j'en suis perdu, au raccord, raccourci, sans tenue, tenu sur le côté,
tout tourne et te rappelle la vie rompue et les heures infinies, tout tourne et te recommence, au danger, à la vie, heure sans fin, absence de toujours, je te vois et tu trembles comme, comme, esclave à la chaîne, animal perdu attrapé et fourbu, tu tires et retiens un temps, encore, encore court, une ferveur, une effusion,
tout tourne et recommence, une effusion, tout ici est fulgurance, temps trop court sur le sentier à perdre, un air de vin, une sérénade, et tu viens, y viens-tu, à la fenêtre, aux oubliettes, au regard perdu, les yeux en larmes tu es fouillé et tristement tu te déplaces, tu vas, tu viens, et sans cesse cela avance, agace,
et perds-moi dans les coins, ordonne et ordonne un tout petit chaos, une émotion sincère, courte, et si courte, et trop, je te tiens et tu avances dans un regard, pour un sourire mouillé, une image sur le devant, et jaune, et rouge, l'on dit au revoir, nous ne serons plus ni à l'un ni à l'autre, une vie perdue de souvenirs,
déplacé, tu trembles et tu avances, et tu cherches encore ce qui demeure et compte, ce qui est grand et te console, les taches sur la peau et du rose de ladre, et du clair, tout passe au travers du tamis, et le vent, et tout ici, reste frivole, je te tiens, je te dois et tu me cernes encore au bout du bout, et encore,
à l'échancrure, encore, poitrine ignorée et surface comprise, je te tiens et tu menaces, et sous la joue le poids de la chaussure, cœur en fête et œil changeant, je te tourne et tu m'ignores, et toujours pour toujours, je te tiens et tu imprimes ton pied sur ma joue, et ta saveur, et tu es pour toujours à savourer,
encore poitrine ignorée et ventre sans fêlure, je te tiens et je te recommence, et ceci encore, et ici tout bas, je n'en ai pas encore, ni assez, ni trop, je retourne et j'explore, et par fragments et tournure posée, je te tiens et je défie encore, et encore le temps toujours plus compté, je te rappelle à ma vie rompue,
aux heures infinies, tout tourne et te recommence, au danger, à la vie, heure sans fin et absence de toujours, je te vois et tu trembles, tremblé-je comme, comme, esclave à la chaîne.
18 juillet 2019.
tout tourne et recommence, une effusion, tout ici est fulgurance, temps trop court sur le sentier à perdre, un air de vin, une sérénade, et tu viens, y viens-tu, à la fenêtre, aux oubliettes, au regard perdu, les yeux en larmes tu es fouillé et tristement tu te déplaces, tu vas, tu viens, et sans cesse cela avance, agace,
et perds-moi dans les coins, ordonne et ordonne un tout petit chaos, une émotion sincère, courte, et si courte, et trop, je te tiens et tu avances dans un regard, pour un sourire mouillé, une image sur le devant, et jaune, et rouge, l'on dit au revoir, nous ne serons plus ni à l'un ni à l'autre, une vie perdue de souvenirs,
déplacé, tu trembles et tu avances, et tu cherches encore ce qui demeure et compte, ce qui est grand et te console, les taches sur la peau et du rose de ladre, et du clair, tout passe au travers du tamis, et le vent, et tout ici, reste frivole, je te tiens, je te dois et tu me cernes encore au bout du bout, et encore,
à l'échancrure, encore, poitrine ignorée et surface comprise, je te tiens et tu menaces, et sous la joue le poids de la chaussure, cœur en fête et œil changeant, je te tourne et tu m'ignores, et toujours pour toujours, je te tiens et tu imprimes ton pied sur ma joue, et ta saveur, et tu es pour toujours à savourer,
encore poitrine ignorée et ventre sans fêlure, je te tiens et je te recommence, et ceci encore, et ici tout bas, je n'en ai pas encore, ni assez, ni trop, je retourne et j'explore, et par fragments et tournure posée, je te tiens et je défie encore, et encore le temps toujours plus compté, je te rappelle à ma vie rompue,
aux heures infinies, tout tourne et te recommence, au danger, à la vie, heure sans fin et absence de toujours, je te vois et tu trembles, tremblé-je comme, comme, esclave à la chaîne.
18 juillet 2019.
A savourer en
RépondreSupprimer7 haïkus approximatifs
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La barque revient
une voile sur l’onde
cœur en harmonie
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La vie est rompue
comme chaîne d’esclave
animal perdu
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Tout recommence
temps trop court sur le sentier
les yeux en larmes
__
Tout petit chaos
dans un sourire mouillé
souvenirs d’hier
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Douce demeure
comme une consolation
le vent frivole
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Poitrine du jour
la vie est une saveur
le cœur en fête
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Le temps est compté
aux heures d’éternité
la chaîne brisée
pour le plaisir, tout simplement !
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