Et d’étoiles et de sèves, tout au commencement, le printemps est en avance, le soleil est tardif et trace, et rentre, et sort, et conjugue, conjugue au ciel la saison, tu te tournes et tu comprends, où sont les cœurs, où sont les plaintes, sans nulle trahison, et que viens-tu, ici dire, nulle,
tout encore, nulle, nulle, nulle, je ne suis pas nulle à faire la nulle et on disait, surtout, et pomme, pomme, je ne suis pas pomme à faire la pomme, et en cherchant on trouve, trouve, bonne, bonne, bonne, je ne suis pas bonne à faire la bonne, où sont les eaux, tu dirais les eaux bleues,
en sommeil, en droit, tenu, en confidence, on dit un ciel d’Afrique, les rives d’un lac, pour rire, où est la victoire, un lac, une décision et les chutes tout ici tombe, l’eau un jour, le soleil souvent, et le verre tout coule, et tout fond, il est au chaud encore, et au choc, si souvent, je tourne,
tournerais-tu, et tu reviens, et tout ici je recommence, reviendrais-tu, le printemps est en avance, le soleil est tardif, et sur le lac les eaux, cherche, et encore, encore tu trouves pour le plaisir et pour le reste, et au choc, et au repos, les eaux sont assemblées, les bateaux tournent, double-moi, double,
ou toi, pour parfaitement soutenir et dire j’attends, attends, un miracle, j’attends le juste retour des choses, il est au ciel une règle : entre les doigts tout file, et combien, et pourtant, entre les doigts l’air passe et je retourne du ciel vers les eaux bleus, et tourne, tourne et recommence, et subitement,
d’un rayon, d’un rayon du ciel, tout est touché, tout ici est reconnu, tu es à voir, et je t’entends, et corps perdu, et langue douce, tu cherches et je recommence, en haut, en haut et aussi vers le bas, vers le bas, un rayon, un rayon du ciel, il se cherche, tout est soulevé, une paupière, une histoire,
un voile et tout, encore nous cacherait, nous cacherait, l’histoire et les yeux ouverts, penché, tu es offert et je refuse, un voile soulevé, le son et les images, je ne suis pas bonne à faire la pomme, et nulle, et plus soutenu tu recommences, un rayon, un rayon et du ciel même, je tourne, recommence,
et plus soutenu par l’air tu cherches, et encore, je t’avance, offert et perdu j’ouvre les yeux, tu trouves et tu contiens, au fond, au fond, et de fleurs et d’ors, tu te donnes et je commence, au fond, au fond, il y a, il avance et tu te cherches, sans trembler, bien droit et encore, tu es de la façon qui vient,
pour dire, et dire encore son mystère, de rêve, de fleurs et d’ors, tu apparais et ici, ils croient et ils entendent, je suis au ciel, tu es au renouveau, le printemps est en avance et soleil est tardif, je tourne et tu accomplis, miracles et mystères, au fond, au fond, tu reviens et encore, et encore,
et nulle, et pomme, et bonne, le son et les images, illustré, tu découpes le bord du temps, et d’étoiles et de sèves, tout au commencement, tu simplifies et je calcule.
21 Août 2017.
en sommeil, en droit, tenu, en confidence, on dit un ciel d’Afrique, les rives d’un lac, pour rire, où est la victoire, un lac, une décision et les chutes tout ici tombe, l’eau un jour, le soleil souvent, et le verre tout coule, et tout fond, il est au chaud encore, et au choc, si souvent, je tourne,
tournerais-tu, et tu reviens, et tout ici je recommence, reviendrais-tu, le printemps est en avance, le soleil est tardif, et sur le lac les eaux, cherche, et encore, encore tu trouves pour le plaisir et pour le reste, et au choc, et au repos, les eaux sont assemblées, les bateaux tournent, double-moi, double,
ou toi, pour parfaitement soutenir et dire j’attends, attends, un miracle, j’attends le juste retour des choses, il est au ciel une règle : entre les doigts tout file, et combien, et pourtant, entre les doigts l’air passe et je retourne du ciel vers les eaux bleus, et tourne, tourne et recommence, et subitement,
d’un rayon, d’un rayon du ciel, tout est touché, tout ici est reconnu, tu es à voir, et je t’entends, et corps perdu, et langue douce, tu cherches et je recommence, en haut, en haut et aussi vers le bas, vers le bas, un rayon, un rayon du ciel, il se cherche, tout est soulevé, une paupière, une histoire,
un voile et tout, encore nous cacherait, nous cacherait, l’histoire et les yeux ouverts, penché, tu es offert et je refuse, un voile soulevé, le son et les images, je ne suis pas bonne à faire la pomme, et nulle, et plus soutenu tu recommences, un rayon, un rayon et du ciel même, je tourne, recommence,
et plus soutenu par l’air tu cherches, et encore, je t’avance, offert et perdu j’ouvre les yeux, tu trouves et tu contiens, au fond, au fond, et de fleurs et d’ors, tu te donnes et je commence, au fond, au fond, il y a, il avance et tu te cherches, sans trembler, bien droit et encore, tu es de la façon qui vient,
pour dire, et dire encore son mystère, de rêve, de fleurs et d’ors, tu apparais et ici, ils croient et ils entendent, je suis au ciel, tu es au renouveau, le printemps est en avance et soleil est tardif, je tourne et tu accomplis, miracles et mystères, au fond, au fond, tu reviens et encore, et encore,
et nulle, et pomme, et bonne, le son et les images, illustré, tu découpes le bord du temps, et d’étoiles et de sèves, tout au commencement, tu simplifies et je calcule.
21 Août 2017.
RépondreSupprimerAu
commencement
le printemps
soleil tracé
ciel lessivé
conjugaison des cœurs
et des saisons
nulle trahison
sans deuil et sans raison
le printemps conjugue
le cœur à la saison
étoiles de sève
pomme d’amour et
eaux du ciel bleu
sommeil des dieux
tout recommence
eaux assemblées
entre les doigts
le fluide des eaux
ciel en avance
ciel en partance
et rayons bleus
paupière lourde
et eaux du ciel
l’histoire ouvre
ses yeux éteints
images du tendre
pomme d’amour
cœur de velours
fleurs d’or et
source de diamant
soleil plein de rêves
de ciel et de sommeil
aux portes du mystère
comme au commencement
d’étoiles et de sèves
prélude du printemps
https://www.youtube.com/watch?v=gVah1cr3pU0
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