Encore pour comprendre et tout tenir, je cherche, je cherche et éloigné de la route je ne vois, ne vois, ni herbes, ni oiseaux, ni rien qui tremble sous les feuilles, je vois, ne vois, et ne comprends ni herbes, ni oiseaux, ni rien tremblant sous les feuilles, saison dévastée, et raison en chaleur, il faut entendre le soleil,
et compter les éraflures, le ciel est au tourment, les erreurs accumulées, je tremble et suis déjà sous la feuille, œil écorché et parure tachée, je suis ici et ici on souffre en silence, au souvenir, au charme, au tremblement, je donne et tu reprends et tu fermes la marche, marcheur perdu, insensé dans l'orage ,le ciel te menace,
et tu grandis au jour et tu fermes et tu portes l'avenir sur ta peau, des citronnelles étendues et des erreurs sous les branches, tout ici dessous, et recommence, dessous, sous qui est plus riche et qui se tient, et sous et dessous, j'enferme encore une certitude, citronnelle étendue, et fleurs pour oindre en panache,
bêtes perdues, dessous les branches et tout ici piquerai fort et retiendrai le seul plaisir, le soir est étendu, et les ombres avancent, il reste dessous les branches du mystère et de la tragédie, il arrive, il est là, enfin il parait, je suis ici et d'ici je réponds, et j'étends la main fermement et je suis ici, et ici sur ce royaume encore, ici,
dessus, et sous, et en dessous, et au delà, en deçà, guidé ici et main qui tourne et paume changeante, citronnelle étendue et regards en dessous, et sous les branches, de feuille en feuille tout soutenu, et riant, un éclat est possible et le mystère et le tragique et la grande peur, tout tournera dans la chaleur, images au cœur,
et dans et pour les grandes images tu renaîtra joyeux, le cœur étincelant, tu tournes et tu comprends, comprends-tu la raison, songes-tu à l'avenir, tout est emmêlé et perdu, et tout tourne, et dessus, et dessous, et sans rien en faire, tu dis, tu te dis, et tu fermes un œil et l'autre, et rouvert tout ici et d'ici te recommences tu franchiras,
franchiras-tu le pont et trouveras-tu la grille, cœur soulagé, et grande force tu seras sous et dessous, et d'une branche à l'autre, d'une feuille, un regard et l'espoir, pour cela je suis, tu es, et dessous, et sous, tout recommence, encore pour comprendre et tout tenir, je cherche, je cherche, éloigné de la route, verrai-je, je vois,
ne vois, ni herbes, ni oiseaux, ni rien qui tremble sous les feuilles, une citronnelle étendue, feuilles rondes et tiges longues, tout du désert revient et te compose, tu es d‘ici et ici tout respire, tu perds encore la vue et la raison je cherche, je cherche et je reviens panier plein, cœur en alerte, tu reviens et encore, tu tiens,
encore au bout des doigts la clef pendante, surtout prenons le temps de travailler, reprenons place, et tenons, le sommeil achevé, au bout des doigts le travail, pour longtemps tout ici me préoccupe, je suis tenu et la clef ouvre le temps, cœur égaré, silence encore, je suis ici et j'ouvre le temps et le regard, je suis ici
et d'ici je réponds et j'étends la main fermement sur ce royaume, je suis ici et d'ici tout me guide, et dessus, et sous, et en dessous, et au delà, en deçà, main qui tourne et paume changeante la clef pour ouvrir et tout reprendre.
22 juillet 2019.
et tu grandis au jour et tu fermes et tu portes l'avenir sur ta peau, des citronnelles étendues et des erreurs sous les branches, tout ici dessous, et recommence, dessous, sous qui est plus riche et qui se tient, et sous et dessous, j'enferme encore une certitude, citronnelle étendue, et fleurs pour oindre en panache,
bêtes perdues, dessous les branches et tout ici piquerai fort et retiendrai le seul plaisir, le soir est étendu, et les ombres avancent, il reste dessous les branches du mystère et de la tragédie, il arrive, il est là, enfin il parait, je suis ici et d'ici je réponds, et j'étends la main fermement et je suis ici, et ici sur ce royaume encore, ici,
dessus, et sous, et en dessous, et au delà, en deçà, guidé ici et main qui tourne et paume changeante, citronnelle étendue et regards en dessous, et sous les branches, de feuille en feuille tout soutenu, et riant, un éclat est possible et le mystère et le tragique et la grande peur, tout tournera dans la chaleur, images au cœur,
et dans et pour les grandes images tu renaîtra joyeux, le cœur étincelant, tu tournes et tu comprends, comprends-tu la raison, songes-tu à l'avenir, tout est emmêlé et perdu, et tout tourne, et dessus, et dessous, et sans rien en faire, tu dis, tu te dis, et tu fermes un œil et l'autre, et rouvert tout ici et d'ici te recommences tu franchiras,
franchiras-tu le pont et trouveras-tu la grille, cœur soulagé, et grande force tu seras sous et dessous, et d'une branche à l'autre, d'une feuille, un regard et l'espoir, pour cela je suis, tu es, et dessous, et sous, tout recommence, encore pour comprendre et tout tenir, je cherche, je cherche, éloigné de la route, verrai-je, je vois,
ne vois, ni herbes, ni oiseaux, ni rien qui tremble sous les feuilles, une citronnelle étendue, feuilles rondes et tiges longues, tout du désert revient et te compose, tu es d‘ici et ici tout respire, tu perds encore la vue et la raison je cherche, je cherche et je reviens panier plein, cœur en alerte, tu reviens et encore, tu tiens,
encore au bout des doigts la clef pendante, surtout prenons le temps de travailler, reprenons place, et tenons, le sommeil achevé, au bout des doigts le travail, pour longtemps tout ici me préoccupe, je suis tenu et la clef ouvre le temps, cœur égaré, silence encore, je suis ici et j'ouvre le temps et le regard, je suis ici
et d'ici je réponds et j'étends la main fermement sur ce royaume, je suis ici et d'ici tout me guide, et dessus, et sous, et en dessous, et au delà, en deçà, main qui tourne et paume changeante la clef pour ouvrir et tout reprendre.
22 juillet 2019.
Pour ouvrir en
RépondreSupprimer10 haïkus approximatifs
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Saison dévastée
ni l’herbe ni les oiseaux
gobent le soleil
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Le ciel éraflé
il souffre en silence
son œil écorché
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Avenir porté
les erreurs sous les branches
fleurs de vérité
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Ombres en marche
mystère et tragédie
d’un royaume perdu
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Une grande peur
va de branche en branche
éclat de rire
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Cœur étincelant
d’une image joyeuse
tout recommence
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Un regard d’espoir
pont franchi grille trouvée
le cœur soulagé
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Herbes absentes
le désert décomposé
oiseaux revenus
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Sommeil achevé
la clé est sur la porte
et ouvre le temps
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La main est ferme
dans sa paume ouverte
les clés du royaume