Encore, et pour longtemps, je te tiens, tu t'enfermes, mémoire courte et temps sans fermeté, tu tiens et tu plonges, cœur défendu et mémoire écourtée, je te veux, de tout tu me donnes, encore, et réserve les secrets, des ferveur et des fulgurances, je te dois, je te perds et tu me recommandes, conte rapporté au chaos,
en coin je te retrouve et je te multiplie et tu me désespères et je te recommence, et du fond, du fond, des erreurs et de l'onde un grillage et des animaux, du fond, du fond et de la vase, et des erreurs, tu tournes et espères, temps compté au désordre, tout te tient ici, suspendu et rendu, remis et soumis,
posé au sable et couvert, couvert de vase, et à dévorer, oiseaux perdus et cœur sans fin, tu tournes et retournes, et tendu et perdu, entre les plis et la sueur, le drap est trop bien et trop lourd et serré, et je meurs, et je ne respire, et je défends, et je perds la mémoire, courte, si courte, sur la peau, les pas imprimés,
le dos et les flancs, les joues et les lèvres, tout est fragile, et inconnu, sans gloire, matin contraint et source abondante, dans les grilles et sur le dos, sur le flanc, et au front rides perdus et avoines folles, tu te retiens et tu redonnes, et un matin encore et un jour, presque lourd, et tendu, avoine fanée, cœur sans ruban,
la chaleur en tournant, je te tiens et tu respires, et les draps en grillage, et la main, une fois tu te tiens, et tu te recommandes, un cœur posé, tout plein, tout plein d'ennuis, et meurtri de grillage, et de vase au fond, au fond, la vie te coule, et de la profondeur et du temps dispersé, tu perds, tu te recommandes enfant,
trouvé dans le grillage, pieds tournés, œil avancé, d'une effusion tout te retient, tu te retournes, drap froissé, tout te salirait encore, grille imprimée et cœur ravagé, tu te retournes et tu achèves un jour presque neuf, un avenir encore, et encore, je te calme, et tu me vois, d'une eau à l'autre, un temps perdu,
ciel décomposé, des branches en partance, et des coups pour achever, et tout ici encore tombe, tombe d'un mot pour l'autre, nous serons évadés, de grillage cerné je te tiens et tu me sauves, cœur perdu, encore, encore à perdre et pour longtemps une certitude, l'absence est éternelle, à corriger encore, et pour longtemps,
je te tiens et tu t'enfermes, mémoire courte et temps sans fermeté, tu tiens et tu plonges, cœur défendu, mémoire écourtée, je te veux et tout de tout tu me donnes encore, et en secret des ferveur et des fulgurances, je te dois, je te perds et tu me recommandes au chaos.
18 juillet 2019.
posé au sable et couvert, couvert de vase, et à dévorer, oiseaux perdus et cœur sans fin, tu tournes et retournes, et tendu et perdu, entre les plis et la sueur, le drap est trop bien et trop lourd et serré, et je meurs, et je ne respire, et je défends, et je perds la mémoire, courte, si courte, sur la peau, les pas imprimés,
le dos et les flancs, les joues et les lèvres, tout est fragile, et inconnu, sans gloire, matin contraint et source abondante, dans les grilles et sur le dos, sur le flanc, et au front rides perdus et avoines folles, tu te retiens et tu redonnes, et un matin encore et un jour, presque lourd, et tendu, avoine fanée, cœur sans ruban,
la chaleur en tournant, je te tiens et tu respires, et les draps en grillage, et la main, une fois tu te tiens, et tu te recommandes, un cœur posé, tout plein, tout plein d'ennuis, et meurtri de grillage, et de vase au fond, au fond, la vie te coule, et de la profondeur et du temps dispersé, tu perds, tu te recommandes enfant,
trouvé dans le grillage, pieds tournés, œil avancé, d'une effusion tout te retient, tu te retournes, drap froissé, tout te salirait encore, grille imprimée et cœur ravagé, tu te retournes et tu achèves un jour presque neuf, un avenir encore, et encore, je te calme, et tu me vois, d'une eau à l'autre, un temps perdu,
ciel décomposé, des branches en partance, et des coups pour achever, et tout ici encore tombe, tombe d'un mot pour l'autre, nous serons évadés, de grillage cerné je te tiens et tu me sauves, cœur perdu, encore, encore à perdre et pour longtemps une certitude, l'absence est éternelle, à corriger encore, et pour longtemps,
je te tiens et tu t'enfermes, mémoire courte et temps sans fermeté, tu tiens et tu plonges, cœur défendu, mémoire écourtée, je te veux et tout de tout tu me donnes encore, et en secret des ferveur et des fulgurances, je te dois, je te perds et tu me recommandes au chaos.
18 juillet 2019.
RépondreSupprimerConte rapporté
conte du chat perché
au temps sans fermeté
à la mémoire écourtée
chaos
cœur en secret
conte retrouvé
conte bleu du chat perché
tout recommence du fond de l’âge
temps compté inespéré et retrouvé
oiseaux
et cœur tatoué
conte fragilisé
conte rouge du chat perché
source abondante au front ridé
avoines folles au matin soufflées
ruban
cœur dispersé
conte imprimé
conte de mare sel et mai
conte pour enfants trouvés
grilles ouvertes et pied de nez
avenir
cœur ravagé
conte perché
décomposé et renversé
cœur en partance
déjouant l’absence
conte heureux
bonheur parfait
chaos
et grand secret
https://www.youtube.com/watch?v=8Koaa-KTKZc
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