On relit le même livre
toujours
eaux assemblées
étoiles
monde des mots perdus et du silence
encore
des incertitudes
des fleurs inutiles
du calme et des regrets imprononçables
vieillir
au matin
fourbu et sans retour
encore la dérive
eaux fendues
paroles et mots entrechoqués
rien
en haut
en bas
un fil
notre vie
regain
perpétué
imprononçable
Maria Dolores Cano, 23 décembre 2020 à 10:09. ici.
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