A contre-courant, sans rime ni raison, tout te cherche et tu commences, ne rien en dire et ne rien en faire, le temps passant et passant encore, un peu pour travailler et le reste pour ignorer la fin du voyage.
En chemin, au bout, tu restes parmi les ronces, irions nous encore et encore un peu plus loin, et à ce lointain qu'en ferons nous.
Vie perdue et temps sans responsabilité, tu comptes et comptes encore, au bout, la fin d'un temps et le retour, tout vient ici, et à point, tu as passé ton siècle au bleu du ciel et au blanc des nuages.
Accroché, décroché et tendu, tu observes les feuilles et tu plies sous la branche, fleur presque fanée.
21 août 2019.
En chemin, au bout, tu restes parmi les ronces, irions nous encore et encore un peu plus loin, et à ce lointain qu'en ferons nous.
Vie perdue et temps sans responsabilité, tu comptes et comptes encore, au bout, la fin d'un temps et le retour, tout vient ici, et à point, tu as passé ton siècle au bleu du ciel et au blanc des nuages.
Accroché, décroché et tendu, tu observes les feuilles et tu plies sous la branche, fleur presque fanée.
21 août 2019.
Petit rien sans rime. Recommencer sans raison à contre-courant, ce peu de chose. Au bout du chemin la fin du voyage. Si loin.
RépondreSupprimerFin d’un temps, et vie perdue. Siècle suspendu.
Là-bas, blanc sur bleu, le ciel, les nuages. Ici, des fleurs, des feuilles et des branches, "et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux"*.
* vous le reconnaitrez très certainement