dimanche 29 novembre 2020

Croisement.

Et certainement, sous le masque, dans ce qui sert, tu te retournes et tu commences, et sous, et dans, le masque et les intentions, ils sont ici et terribles et connus, tu te joues et tu espères, quel est ce compte, que sont ces piles, tout est ici entassé, et tu y cherches l'ordre, sans faire, tu comptes les points,

nuit étoilée, cèdes-tu, espères-tu, et saurai-je d'où cela viendrait, nous sommes ici à la croisée, sombre chemin et tunnel vers la gloire, lumière à venir et tournants sous la terre, vers le ciel, vers en haut et du tard vers le tôt, et des éraflures, aux cavités, je suis ici, et ici je creuse, et tout au ciel est entassé,

au pont, taisez vous, morts oubliés, et pile et poids, tout est complexe, je commence et tu sers encore, vers l'avenir, vers le beau temps, vers les jours heureux, tu es parti et tu retournes, du tard vers le tôt, de la nuit au matin, sur un chemin de cavernes et d'embûches, je suis ouvert, tu es ici et sans attendre,

sans comprendre, nous montons, nuit étoilée, en tournant du plus profond au plus ouvert, nadir et zénith, et vaste monde, tout en attente, tout en montée, du sol creusé en éraflures, peau entaillée, piquée et d'étoiles et de frissons, je sers, je sers et je retrouve, certainement sous le masque, ce qui certainement sert,

tu te retournes et tu commences, morts oubliés, et sous, et dans le masque, dans les intentions, tu résonnes, ils sont ici et terribles et connus, tu te joues et tu espères, espères-tu, saurai-je d'où cela vient, nous sommes ici à la croisée, sombre chemin et tunnel, à la croisée, au retour, quelque chose et quelqu'un,

tout est parti, et mort et joyeux, tu résonnes, nuit étoilée, tu sers, outil posé, sans maître sur la terre, tu te sers et tu te relances, tu composes le destin, tout est à venir et compte, le ciel, les nuages pour porter les oiseaux, tu ploies sous la charge, ici se trouvent les vivants et les jours, là règnent les ombres mortes,

histoires avalées, des chemins perdus, des croisements, morts oubliés, serpents effrayés, terribles, je te suis sur cette route et je chante en avance, d'un ciel tendu, d'un ciel retenu, je me couvre, je suis ouvert, tu es ici et sans attendre, sans comprendre, nous montons en tournant, du profond au plus ouvert,

nadir et zénith, vaste monde, en attente, tout en montée, sol creusé, nuit étoilée, en éraflures, peau entaillée, piquée et d'étoiles et de frissons, je sers, je sers et je retrouve, d'un tard à un tôt, d'un sombre à la clarté, des ombres douces aux lueurs sans mélange, tu es sous le masque, dans ce qui sert, tu te retournes,

et tu résonnes, et sous et dans le masque, les intentions dans le masque, morts oubliés, tu sers, nuit étoilée, ils sont ici, terribles et connus, morts oubliés, tu joues et tu espères, un peu court, un peu perdu, pour avancer, les outils servent, tu es servi.

12 août 2019.

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