En
attendant la suite, yeux ouverts, une flamme dans le cœur. Mains au
ciel, tu portes la marque des chagrins. La chambre refermée, les draps
claquent dans le vent. L’espoir luit dans les méandres de ton esprit
fatigué. Le sourire d’un pleur, un désir simple sur le revers du cœur.
Pauvre
caillou du souvenir, tout ici est dans le froid, herbe froide. Les cris
sont de douleur, les corps sont épuisés, les cœurs contaminés. Tu
attends au ciel les oiseaux, les étoiles, la gaité des mots. Témoignage
d’un temps d’avant la fin.
Le désir est profond, tête entre les
mains. Yeux ouverts au premier matin, silence et confusion dans le
compas du temps. La vie tourne et tu attends.
Maria Dolores Cano, 06 novembre 2020 à 14:04. ici.
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