Encore plus, encore plus on est effondré, tout tremble et tout palpite, je ne sais d’où vient ce tendre émoi, tendrement tout ici palpite, ce mouvement inconnu, et caché qui me fait frissonner, j’en suis ici au début du premier voyage, à l’abandon, au tremblement subtil, au mouvement caché
qui m‘étreint et me noie, je ne sais, je ne sais, et tout ci avançant me submerge de frissons et de tremblements, j’en suis, j’en suis au début du premier voyage, en avant, on se noie, tout ici est submergé d’émoi et de tremblements, sous la surface des sentiments il y a le lit inquiet des émotions,
le tremblement caché, le mouvement obscur, tout tremble et tout agite, le coin est sombre, on se tient encore et on cherche la caresse sous la surface, le mouvement étrange qui me parcours et me noie, étreinte et confidence, et sur le tout le même enthousiasme, je te tiens et tu viens, doublement,
en avant et puis cachés on se reprend, on tient enfin le compte la route est en avance et le soleil se noie, j’y suis, j’y vais, je tourne et sur mon cœur ton cœur soupire et palpite, y sommes-nous, nous-y-sommes, voie tracée et sombre plainte, sombrement dite et cachée au reste, le soleil est clos,
les murs sont abolis, on divague et tout vient, il faut cacher le sentiment et couvrir l’avenir, j’y suis, tu tiens, tu viens, tout ensemble je ne sais d’où tout, ici, vient, et encore et toujours, encore et toujours, au souvenir d’un mouvement ouvert, rendons, rendons le temps plus lointain, la vie plus plaisante,
et pour tout l’univers un souvenir, il est un, et je soutiens les murs du jardin, oranges et mûres, le ciel est bleu, la vie est ouverte, tout ici chante encore et encore l’amour et la liberté, j’en suis, j’en suis, tout encore est en avance, la main posée, le temps venu, les chansons claires, heures venues,
mains tardives, je sais, je sais, tout ici le redira, le dira-t-il, et chantera une affaire pour le reste, un avenir, une saison, je tiens, tu viens, tout ici montre les dents une à une, un essai, le pardon et les contrats résiliés, la vie venue, le rire étrange, tout encore, encore tout, je pense et tu maintiens,
les heures, le service, la terre retournée, le poids de la raison, sur la peau, sur le dos, épaules accablées et service rendu, je tourne et tu vois, tout encore tu espères, la vie à caresser, les yeux ouverts, la voie au ciel enfin ouverte, cœur écarté, nous tournons, nous tournons au ciel, drapeaux en feu,
une vie pour croître, tout encore à espérer, l’avenir commence et tout est éternellement jeune.
18 Août 2016.
qui m‘étreint et me noie, je ne sais, je ne sais, et tout ci avançant me submerge de frissons et de tremblements, j’en suis, j’en suis au début du premier voyage, en avant, on se noie, tout ici est submergé d’émoi et de tremblements, sous la surface des sentiments il y a le lit inquiet des émotions,
le tremblement caché, le mouvement obscur, tout tremble et tout agite, le coin est sombre, on se tient encore et on cherche la caresse sous la surface, le mouvement étrange qui me parcours et me noie, étreinte et confidence, et sur le tout le même enthousiasme, je te tiens et tu viens, doublement,
en avant et puis cachés on se reprend, on tient enfin le compte la route est en avance et le soleil se noie, j’y suis, j’y vais, je tourne et sur mon cœur ton cœur soupire et palpite, y sommes-nous, nous-y-sommes, voie tracée et sombre plainte, sombrement dite et cachée au reste, le soleil est clos,
les murs sont abolis, on divague et tout vient, il faut cacher le sentiment et couvrir l’avenir, j’y suis, tu tiens, tu viens, tout ensemble je ne sais d’où tout, ici, vient, et encore et toujours, encore et toujours, au souvenir d’un mouvement ouvert, rendons, rendons le temps plus lointain, la vie plus plaisante,
et pour tout l’univers un souvenir, il est un, et je soutiens les murs du jardin, oranges et mûres, le ciel est bleu, la vie est ouverte, tout ici chante encore et encore l’amour et la liberté, j’en suis, j’en suis, tout encore est en avance, la main posée, le temps venu, les chansons claires, heures venues,
mains tardives, je sais, je sais, tout ici le redira, le dira-t-il, et chantera une affaire pour le reste, un avenir, une saison, je tiens, tu viens, tout ici montre les dents une à une, un essai, le pardon et les contrats résiliés, la vie venue, le rire étrange, tout encore, encore tout, je pense et tu maintiens,
les heures, le service, la terre retournée, le poids de la raison, sur la peau, sur le dos, épaules accablées et service rendu, je tourne et tu vois, tout encore tu espères, la vie à caresser, les yeux ouverts, la voie au ciel enfin ouverte, cœur écarté, nous tournons, nous tournons au ciel, drapeaux en feu,
une vie pour croître, tout encore à espérer, l’avenir commence et tout est éternellement jeune.
18 Août 2016.
Huit haïkus approximatifs
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Un tendre émoi
en ce premier voyage
subtil tremblement
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Étreint et noyé
submergé de sentiments
lit des émotions
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Mouvement obscur
d’une étrange caresse
en confidence
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Un soleil noyé
le cœur ému palpite
une voie tracée
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Les murs anéantis
l’avenir est en chemin
la vie plaisante
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La vie ouverte
chant d’amour et liberté
les fruits sont mûrs
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La saison venue
l’avenir ouvre la voie
à la jeunesse
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Terre retournée
les épaules accablées
cœur écartelé
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